lundi 31 août 2009
Le ballottage dans la LNH
Le ballottage, avec toutes ses subtilités et ses zones grises, est parfois un concept très flou pour plusieurs amateurs de hockey. Ce document a donc comme but de démystifier cet infâme trou noir que représente le ballottage.
a) Quels sont les types de ballottage?
Il existe deux types de ballottage. Le premier, que l’ont pourrait qualifier de ‘Ballottage classique’, se produit quand un joueur est rétrogradé au club-école d’une équipe de la LNH. À ce moment, l’équipe qui réclame le joueur doit assumer la totalité du salaire du joueur en question. L’équipe d’origine est donc entièrement soulagé du contrat qui la liait avec ce dernier.
Certains joueurs doivent aussi passer par le ‘ballottage de rappel’. Le joueur rappelé des filiales de l’équipe doit donc être soumit au ballottage avant de pouvoir se joindre à l’équipe de la LNH qui détient ses droits. En cas de réclamation, l’équipe qui accueille le joueur ne doit assumer que 50% de son salaire, alors que l’équipe qui tentait le rappel doit verser le 50% restant. Ce 50% s’applique dans le calcul du plafond salarial. Ce ballotage particulier est traité au point e).
b) Généralités
La saison de ballottage commence 12 jours avant le lancement de la saison régulière, et se termine le lendemain du dernier match de l’équipe.
La période d’exemption, qui est représentée par un nombre d’années suivant la signature du premier contrat de la LNH et un nombre de matchs disputés, prend fin dès que le premier de ces critères est atteint.
Une exemption prend fin le jour même où le joueur atteint la limite de parties jouées le protégeant du ballottage.
Un joueur qui passe par le ballottage sans être réclamé peut être rappelé ou renvoyé dans la AHL sans devoir repasser par le ballottage de nouveau, et ce pour la totalité de la saison en cours. Cependant, cette clause est invalidée si le joueur en question joue plus de 10 parties dans la LNH, ou si il fait parti de l’alignement officielle d’une équipe de la LNH pour plus de 30 jours. Dans un tel cas, il devra repasser par le ballottage en cas de rappel.
Un joueur peut être assigné au club école pour ‘reconditionnement physique’ pour une période ne pouvant pas dépassé 14 jours. Dans un tel cas, le joueur, quelque soit son statut, n’a pas à être soumis au ballottage.
Un équipe voulant racheter le contrat d’un joueur est dans l’obligation de l’offrir au ballottage avant de pouvoir procéder au rachat.
c) Qui est exempté du ballottage?
Voici un petit tableau qui représente les périodes d’exemptions au ballotage. Celles-ci diffèrent selon l’âge du joueur lors de la signature de son premier contrat de la LNH et selon sa position (gardien ou patineur).
Le type de contrat (un ou deux volets) n'a aucune incidence sur l'exemption de ballotage.
Gardiens
Age|Années après signature|Matchs LNH*
18| 6**| 80
19| 5**| 80
20| 4| 80
21| 4| 60
22| 4| 60
23| 3| 60
24| 2| 60
25+| 1| Non-applicable
Joueurs
Age |Années après signature*|Matchs LNH*
18| 5**| 160
19| 4**| 160
20| 3| 160
21| 3| 80
22| 3| 70
23| 3| 60
24| 2| 60
25+| 1| Non-applicable
Notes importantes:
*Ce nombre représente les parties en saison régulière et en série éliminatoire. Les parties hors concours ne sont pas incluses.
**La période d’exemption de cinq ans pour un joueur qui signe à 18 ans et de quatre ans pour un joueur qui signe à 19 ans est dans les deux cas réduite à trois ans dès que le joueur participe à 11 parties au cours d’une saison. Cette saison de plus de 11 parties devient alors l’an un de l’exemption.
**La période d’exemption de six ans pour un gardien qui signe à 18 ans et de cinq ans pour un gardien qui signe à 19 ans est dans les deux cas réduite à quatre ans dès que le gardien participe à 11 parties au cours d’une saison. Cette saison de plus de 11 parties devient alors l’an un de l’exemption.
***La première saison au cours de laquel un joueur de 20 ans ou plus joue un match professionnel (NHL, AHL, ECHL, Ligues d’élites Européenne, etc) est considéré comme l’an un de sa période d’exemption
d) Qui a la priorité lors de la réclamation d’un joueur au ballottage?
Le rang de priorité dépend du moment de la saison ou un joueur est soumit au ballottage. Avant le premier novembre, la priorité est basé sur le classement général de la fin de la saison précédente. L’équipe qui a présenté la pire fiche est alors la première à pouvoir réclamer le joueur.
Tout joueur soumis au ballottage après le premier novembre sera offert en priorité à l’équipe ayant le plus bas ratio de Points au classement/Possibilité de point, de façon à ce que les équipes ayant moins de parties jouées ne soient pas avantagées.
e) Le ballotage de rappel
Cette nouveauté de la dernière convention collective, tel que mentionné plus haut, s’applique lorsqu’un joueur est rappelé de son club école. Le joueur rappelé des filiales de l’équipe doit donc être soumit au ballotage avant de pouvoir se joindre à l’équipe de la LNH qui détient ses droits. En cas de réclamation, l’équipe qui accueille le joueur ne doit assumer que 50% de son salaire, alors que l’équipe qui tentait le rappel doit verser le 50% restant. Ce 50% s’applique dans le calcul du plafond salarial.
Les conditions pour qu’un joueur doit passer par le ballotage de rappel sont les suivantes:
Joueur avec un contrat à un volet
Tout joueurs qui ne respecte pas les conditions d’exemptions pour le ballotage classique
Joueur avec un contrat à deux volets
Tout dépend alors du salaire que fait le joueur dans la AHL. Un joueur avec un contrat à deux volet est exempté du ballotage de rappel, sauf si il gagne un salaire supérieur à 100 000$. Cette limite passera à 105 000$ pour la saison 2009 - 2010
(Source : CHFANS)
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dimanche 30 août 2009
Le travail d'un dépisteur
Il y a plusieurs personnes qui se demandent sur quoi un “scout” ou un dépisteur se fit pour juger le talents des jeunes joueurs. C’est d’abord et avant tout un suivit acharné d’un joueur qu’on vient a avoir une feuille de dépistage (scouting report) intéressante sur un joueur.
Il y a plusieurs critères qui entrent en ligne de compte dans l’évaluation d’un prospect.
Plusieurs facteurs sont présent pour différencier les bons des meilleurs dépisteurs. En effet en voici quelques uns :
1. Regarder pour les tournois de haut-niveau (Championnat du monde Junior).
2. Travailler avec de la technologie de dépistage avancée.
3. Les dépisteurs en chefs doivent tenir des réunions avec les autres dépisteurs le plus souvent que possible pour être à jour.
4. Mettre les prospects en rang sur une base régulière pour savoir qui est le meilleur joueur disponible à un tel rang de sélection.
Quels sont les points d’évaluations d’un dépisteur envers un joueur ?
1. Le coup de patin
Premièrement, le joueur en question doit avoir un bon coup de patin et ceci entraîne plusieurs choses comme par exemple la rapidité du joueur en général ou la rapidité de ses jambes. Aller du point A au point B le plus rapidement dans le fond. De plus, les dépisteurs évaluent l’agilité pour voir si le joueur est capable de changer de direction facilement et rapidement. La force du joueur sur ses patins et comme on le dit en anglais « balance » ou équilibre.
2. Le sens du hockey
Le joueur en question doit prendre les bonnes décision au bon moments et c’est la base du hockey. De plus, dans le sens du hockey on examine si le joueur est bon dans les mises en jeu, s’il est stressé ou s’il performe bien sous pression.
3. Son jeu AVEC la rondelle
Dans cette catégorie, on évalue sur le joueur est capable de recevoir n’importe quel types de passes, s’il est capable d’anticiper le jeu de ses coéquipiers ou de ses adversaires, s’il utilise son maniement de rondelle et ses passes pour donner de meilleures options à ses coéquipiers ainsi que s’il est capable de prendre des décisions rapidement avec la rondelle. On évalue donc son maniement de la rondelle et ses passes. (Le lancer est évalué plus tard)
4. Son jeu SANS la rondelle
Offensivement : On évalue ici si le joueur est capable d’offrir de bonne options de passes à ses coéquipiers. De plus, on regarde si le joueur permet à un coéquipier de garder la rondelle plus longtemps en attirant un ou des joueurs adverses avec lui. En fait si le joueur est capable de créer de l’espace pour ses coéquipiers offensivement.
Défensivement : On évalue ici si le joueur est capable de limiter les options de jeux de ses adversaires soit en anticipant le jeu ou en interférant les voies de passes et de lancers. Donc sans la rondelle, est ce que le joueur coupe les zone de passes et de lancers ou est-il capable d’enlever de l’espace pour un adversaire en se plaçant au bons endroits.
5. Le lancer
On regarde tout d’abord si le joueur a le plus d’arme possible à son arsenal de lancer. Par exemple, on évalue le lancer frappé, le lancer du poignet, le lancer du revers. De plus, on juge si le joueur est capable de faire dévier un lancer. Le joueur doit être capable d’utiliser le bon lancer au bon moment. Les dépisteurs évaluent aussi si le joueur est capable de faire un lancer sans avertissement (comme Sakic) ou s’il est capable d’effectuer un bon lancer même s’il n’est pas en bonne position.
On ne peut pas oublier le nombre de lancers d’un joueur pendant une partie ainsi que la précision de ses lancers. Le ratio nb de lancers / nb de buts est aussi important.
6. Le côté physique
Le joueur est-il capable de performer s’il est utilisé à outrance pendant une partie ? Est-il donc assez en forme pour bien performer lors des moments importants ? Il s’agit donc du cardio-vasculaire du joueur en question ainsi que de sa force en général. On évalue aussi comment le joueur en question utilise sa force physique et sa grosseur. On regarde alors si le joueur est capable d’y aller bonnes mises en échecs percutantes ou tout simplement utiles afin d’enlever la rondelle à un adversaire.
Un autre côté qui est évalué est lorsque le joueur se place devant le filet. On sait que la plupart des buts sont marqués de cet endroit donc on évalue le joueur lorsqu’il se poste à cette place. Pour terminer, les dépisteurs évaluent de quelles façons le joueur est capable d’encaisser les mises en échecs. Est-ce que ça l’intimide ? Peut-il bien protéger la rondelle ? Se protège-t-il bien le long des rampes ?
**C'est une petite base sur le travail qu'un dépisteur doit faire en regardant un joueur. On voit que c'est plutôt long analyser le jeu d'un joueur! Il se peut qu'il y ai de petites erreurs mais j'ai fais du mieux que j'ai pu!
(Source : CHFANS)
P.S. : Il est déjà sourcé sur le site.
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Il y a plusieurs critères qui entrent en ligne de compte dans l’évaluation d’un prospect.
Plusieurs facteurs sont présent pour différencier les bons des meilleurs dépisteurs. En effet en voici quelques uns :
1. Regarder pour les tournois de haut-niveau (Championnat du monde Junior).
2. Travailler avec de la technologie de dépistage avancée.
3. Les dépisteurs en chefs doivent tenir des réunions avec les autres dépisteurs le plus souvent que possible pour être à jour.
4. Mettre les prospects en rang sur une base régulière pour savoir qui est le meilleur joueur disponible à un tel rang de sélection.
Quels sont les points d’évaluations d’un dépisteur envers un joueur ?
1. Le coup de patin
Premièrement, le joueur en question doit avoir un bon coup de patin et ceci entraîne plusieurs choses comme par exemple la rapidité du joueur en général ou la rapidité de ses jambes. Aller du point A au point B le plus rapidement dans le fond. De plus, les dépisteurs évaluent l’agilité pour voir si le joueur est capable de changer de direction facilement et rapidement. La force du joueur sur ses patins et comme on le dit en anglais « balance » ou équilibre.
2. Le sens du hockey
Le joueur en question doit prendre les bonnes décision au bon moments et c’est la base du hockey. De plus, dans le sens du hockey on examine si le joueur est bon dans les mises en jeu, s’il est stressé ou s’il performe bien sous pression.
3. Son jeu AVEC la rondelle
Dans cette catégorie, on évalue sur le joueur est capable de recevoir n’importe quel types de passes, s’il est capable d’anticiper le jeu de ses coéquipiers ou de ses adversaires, s’il utilise son maniement de rondelle et ses passes pour donner de meilleures options à ses coéquipiers ainsi que s’il est capable de prendre des décisions rapidement avec la rondelle. On évalue donc son maniement de la rondelle et ses passes. (Le lancer est évalué plus tard)
4. Son jeu SANS la rondelle
Offensivement : On évalue ici si le joueur est capable d’offrir de bonne options de passes à ses coéquipiers. De plus, on regarde si le joueur permet à un coéquipier de garder la rondelle plus longtemps en attirant un ou des joueurs adverses avec lui. En fait si le joueur est capable de créer de l’espace pour ses coéquipiers offensivement.
Défensivement : On évalue ici si le joueur est capable de limiter les options de jeux de ses adversaires soit en anticipant le jeu ou en interférant les voies de passes et de lancers. Donc sans la rondelle, est ce que le joueur coupe les zone de passes et de lancers ou est-il capable d’enlever de l’espace pour un adversaire en se plaçant au bons endroits.
5. Le lancer
On regarde tout d’abord si le joueur a le plus d’arme possible à son arsenal de lancer. Par exemple, on évalue le lancer frappé, le lancer du poignet, le lancer du revers. De plus, on juge si le joueur est capable de faire dévier un lancer. Le joueur doit être capable d’utiliser le bon lancer au bon moment. Les dépisteurs évaluent aussi si le joueur est capable de faire un lancer sans avertissement (comme Sakic) ou s’il est capable d’effectuer un bon lancer même s’il n’est pas en bonne position.
On ne peut pas oublier le nombre de lancers d’un joueur pendant une partie ainsi que la précision de ses lancers. Le ratio nb de lancers / nb de buts est aussi important.
6. Le côté physique
Le joueur est-il capable de performer s’il est utilisé à outrance pendant une partie ? Est-il donc assez en forme pour bien performer lors des moments importants ? Il s’agit donc du cardio-vasculaire du joueur en question ainsi que de sa force en général. On évalue aussi comment le joueur en question utilise sa force physique et sa grosseur. On regarde alors si le joueur est capable d’y aller bonnes mises en échecs percutantes ou tout simplement utiles afin d’enlever la rondelle à un adversaire.
Un autre côté qui est évalué est lorsque le joueur se place devant le filet. On sait que la plupart des buts sont marqués de cet endroit donc on évalue le joueur lorsqu’il se poste à cette place. Pour terminer, les dépisteurs évaluent de quelles façons le joueur est capable d’encaisser les mises en échecs. Est-ce que ça l’intimide ? Peut-il bien protéger la rondelle ? Se protège-t-il bien le long des rampes ?
**C'est une petite base sur le travail qu'un dépisteur doit faire en regardant un joueur. On voit que c'est plutôt long analyser le jeu d'un joueur! Il se peut qu'il y ai de petites erreurs mais j'ai fais du mieux que j'ai pu!
(Source : CHFANS)
P.S. : Il est déjà sourcé sur le site.
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samedi 29 août 2009
Kovalev: « J’espère que les Kostitsyn vont user plus de leur tête »
Alex Kovalev n’a refusé de répondre à aucune question lors du tournoi de golf de sa fondation jeudi, lesquelles portaient beaucoup plus sur le Canadien que sur les Sénateurs.
On lui a notamment demandé s’il avait un conseil à donner aux frères Kostitsyn, dont il était le père spirituel à leurs débuts à Montréal.
« Andrei est un joueur talentueux et consciencieux, a dit Kovalev.
« On peut lire sur son visage quand il a offert une contre-performance. Je connais moins Sergei, a-t-il ajouté, sans en dire plus sur le cadet.
« Mais j’espère que les deux vont user plus de leur tête cette saison. »
Voilà qui est assez clair !
Kovalev savait très bien ce qui attendait les frangins biélorusses quand Bob Gainey l’a mis au repos pour deux matchs à Washington et Pittsburgh, en février. Il était au courant que les deux étaient mêlés à une enquête policière qui a mené à l’arrestation d’un individu du monde interlope.
Au lendemain d’une histoire parue sur RueFrontenac.com dans laquelle Kovalev déplorait la conduite de certains coéquipiers à l’extérieur de la patinoire, l’individu qui se collait aux Kostitsyn était arrêté par la police.
Aucune accusation n’a été portée contre les deux frères, bien qu’ils aient commis l’imprudence de prêter leurs cartes de crédit au présumé accusé mis sous les verrous.
Kovalev prévoyait des changements chez le Canadien, mais pas autant...
Photo Luc Laforce
Une première indication en février
Kovalev s’était dit aussi perplexe, à cette occasion, de son avenir avec le Canadien.
« Lors de cette fameuse marche sur la rive du Saint-Laurent avec Bob Gainey, a-t-il relaté avec un sourire, il m’avait fait part de son intention d’aller chercher des joueurs différents pour la prochaine saison. Il voulait relancer l’équipe. »
Deux semaines plus tard, Guy Carbonneau tombait sous le couperet et, moins de quatre mois plus tard, Gainey procédait à une grande refonte en faisant l’acquisition de sept nouveaux vétérans, dont six sur le marché des joueurs autonomes.
Dix joueurs de l’édition de la saison dernière sont partis, incluant Steve Bégin qui a quitté pour Dallas avant la date limite des échanges en mars.
« Je prévoyais des changements, mais je ne m’attendais pas à voir autant de nouvelles figures », a dit Kovalev.
Saku Koivu et Kovy y ont passé aussi.
C’est peut-être pour cette raison que les joueurs du Canadien étaient rares au tournoi de golf de la Fondation Kovalev. Maxim Lapierre était présent, mais Guillaume Latendresse se faisait toujours attendre peu avant que le départ ne soit donné.
Il y avait aussi David Perron, grand admirateur de Kovalev, et Kris Letang, gagnant de la coupe Stanley avec les Penguins de Pittsburgh il y a plus de deux mois à peine.
Le président du Canadien, Pierre Boivin, et le vice-président aux communications, Donald Beauchamp, y étaient mais pas de trace de Gainey. Il semble que le directeur général, qui s’entendait bien avec Kovalev, s’était engagé à y être en juin, mais qu’il se soit désisté après avoir signifié au vétéran attaquant que ses services n’étaient plus requis à Montréal.
Kovalev n’a rien dit à ce sujet, mais il devait être déçu de ne pas voir Gainey.
Un capitaine pour les médias !
Par ailleurs, on a demandé à Kovalev s’il voyait un candidat à la succession de Saku Koivu au poste de capitaine, rôle qui lui serait revenu s’il était resté à Montréal.
« Je sais que ce poste est important chez le Canadien, a-t-il mentionné.
« Il en faut un pour répondre aux questions des médias après les matchs ! », a-t-il lancé en riant.
Heatley aura de la pression
Le problème ne se pose pas chez sa nouvelle équipe où Daniel Alfredsson remplit le rôle depuis 10 ans. Il n’est pas dit, toutefois, que Kovalev pourrait être choisi adjoint au capitaine si les Sénateurs dépouillent Dany Heatley de ce titre.
Ce dernier a réitéré son désir d’être échangé, la semaine dernière.
« Il m’est difficile de parler de cette situation puisque j’ignore ce qui est arrivé, a fait valoir Kovalev.
« Mais ce ne sera pas facile pour lui les deux premiers mois de la saison. Les amateurs ne seront pas de son côté. »
Sans doute que non.
(Source : RueFrontenac)
Mon commentaire :
C'est bon de voir Kovalev, encore intéresser au Canadiens et le fait qu'il est mentionner qu'il voudrait terminer sa carrière a Montréal, montre bien son intention envers le Canadiens. Les conseils donné aux Kostitsyn, de simplement utilisé leur tête, cela me fait rire, car il a totalement raison et c'est dommage de l'avoir perdu surtout a Ottawa, car il ne sera pas loin. Si jamais il fait un retour, les deux frères Kostitsyn ne seront peut-être pu dans l'organisation a se moment la. Quand qu'il dit qu'a Montréal ca prend un capitaine qui peut communiquer avec les médias, il aurait été le candidat idéale dans cette situation et qui ne se rappelle les belles performence de Kovy en tant que capitaine l'an passé. De voir Kovalev au tournoi de golf prouve ses bonnes intentions envers nous les partisans et il n'a pas été gêner de venir nous donner des opinions franche et juste. Je lui souhaite bonne chance pour le début de saison a Ottawa ou la situation ne sera pas facile pour lui.
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vendredi 28 août 2009
Luongo: La prochaine cible des amateurs du Canadien?
Comme ç'a été le cas pour Daniel Brière en 2008 et pour François Beauchemin en 2009, si Roberto Luongo ne signe pas de prolongation de contrat avec les Canucks d'ici deux semaines, il deviendra le prochain québécois que les partisans du Canadien réclameront à tout prix.
Luongo a réitéré au camp d'entraînement d'équipe Canada qu'il ne négocierait pas durant la saison. D'ailleurs, il a lancé un ultimatum aux Canucks indiquant qu'il voulait en venir à une entente avant le 13 septembre prochain.
Luongo, qui écoulera la dernière année de son contrat cette saison, touchera un salaire de 7.5 millions $. Son agent Gilles Lupien avait déjà confirmé à CKAC Sports en fin de saison qu'il entretenait des pourparlers avec le directeur général Mike Gillis. Pour l'instant rien ne s'est concrétisé.
Si le Canadien a obtenu plus de succès avec les agents libres cet été, ça n'a pas été le cas avec les joueurs québécois. Cette année, il n'y aura que 3 francophones au sein de la formation, le plus faible total de son histoire.
La famille Molson a déjà indiqué qu'elle était sensible au fait québécois chez le Canadien. Sans compromettre l'objectif numéro un qu'est celui de gagner, le Canadien aura sûrement comme mission de tenter d'attirer plus de joueurs québécois à court et à long terme.
Si Carey Price devait connaître une saison moyenne, le nom de Luongo sera sur toutes les lèvres au printemps prochain.
Malheureusement pour Bob Gainey, les demandes des partisans ne lui rendraient pas la vie plus facile, si son objectif était vraiment d'attirer Luongo.
Si le gardien natif de St-Léonard désire garder au moins le même salaire, le Canadien devra manœuvrer avec adresse pour le glisser sous le plafond salarial puisqu'il n'y aura que 3 joueurs autonomes chez le tricolore l'an prochain : Paul Mara (1.6$ millions), Tomas Plekanec (2.7$ millions) et Glen Metropolit (1$ millions).
En fait, le Canadien a déjà dépensé 44$ millions pour 2010-2011 et devra composer avec 7 joueurs autonomes avec restriction.
Bien sûr, Luongo pourrait même être échangé d'ici la date limite si les Canucks ne sont plus dans la course et si une entente ne semble pas imminente. Il pourrait aussi signer une prolongation après la saison. Finalement, il pourrait décider de signer une prolongation en pleine saison. Il n'y a que les fous qui ne changent pas d'idée. Mais d'ici là, on risque d'entendre son nom souvent dans les couloirs du Centre Bell cet hiver.
(Source : CorusSports)
Mon commentaire :
C'est sur que Luongo pourrait devenir intéressant, mais comme l'indique l'article en question la masse salariale de la saison 2010-2011 du Canadiens pourrait faire en sorte que le gardien québécois n'aboutisse pas a Montréal. Si Price, connait une saison ordinaire, les pourparlers en sont endroit ne cesseront de grandir, cependant si le contraire ce produit, ont pourrait même entendre parler d'échanger Price pour signer Luongo. Donc si ce dernier, ne signe pas de contrat prochainement, cela est quasiment a sur a 100% que beaucoup de rumeurs vont courir a son endroit. Mais revenons a la réalité, car jamais Luongo aboutira a Montréal, les chances qu'une telle chose se produise équivaut a gagner aux loteries!
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jeudi 27 août 2009
Laraque : « Les médias inventent des conneries »
Invité à l'émission « Tout un retour » à CKOI, mercredi, Georges Laraque y est allé d'une attaque sans réserve envers les médias montréalais.
Voici une transcription littérale de ses propos :
« J'étais à Edmonton, premièrement, je n'étais même pas à Montréal. J'étais à Edmonton pour avoir un peu la paix, car quand tu arrives à Montréal et que la saison commence, ce n'est pas juste le hockey... la vie en dehors de la glace, aussi, tu dois faire attention. Je fais une entrevue bien tranquille avec le gars à Edmonton; le gars me parle de la pression à Montréal : 'Pourquoi y a-t-il autant de pression? Pourquoi est-ce que les gars jouaient là-bas? Ce que je dis, je dis que c'est à cause du langage, des médias en français, en anglais. Bien entendu, la pression est plus haute parce qu'il y a plus de couverture médiatique. Ils m'ont dit : 'Comment, toi, tu trouves ça?' J'ai répondu que j'aimais ça, que je trouvais ça drôle, que je m'amuse avec ça. Moi, ça ne me dérange pas. Je trouve que c'est une 'game'. Pour moi, ça ne me dérange pas, car, avec les médias, je suis bon. Les médias sont braves pour me 'blaster' mais, quand je suis avec eux autres, c'est jamais pareil, car je suis capable de me défendre tout seul. Ils sont 'tough' quand je ne suis pas là, mais quand je suis là, ils ne sont pas pareils. Moi, ça ne me dérange pas, je m'amuse avec ça. »
« Le gars, il me demande : 'Les nouveaux gars que vous avez, comment qu'eux autres, il va falloir qu'ils 'dealent' avec ça?' Moi, ce que j'ai dit, en 'joke', en riant, je suis parti à rire et j'ai dit : 'Les nouveaux gars, eux autres, ça change rien, ils parlent pas en français. C'est ça que j'ai dit. Quand j'ai dit ça, l'article, elle a changé à ce que moi, j'ai dit aux nouveaux gars de ne pas parler en français, pis là, à Montréal, c'est parti du fait que, de cet article-là, que j'ai appelé les nouveaux gars, pis je leur ai dit de ne pas apprendre le français. »
« Premièrement, je suis né à Montréal, je suis francophone. Comment est-ce qu'un francophone peut être anti-francophone? Aucune logique. Le monde, y'a absolument rien à parler, puis ils inventent des conneries pour rendre leur 'show' plus intéressant puis essayer de monter leurs cotes d'écoutes en disant des conneries qui sont ridicules. Toute l'année, l'année passée, j'ai dit à Saku : 'Pourquoi tu ne prends pas des cours de français? Ta femme me parle en français, tes enfants me parlent en français, pourquoi tu ne prends pas des cours de français?' Je dis toujours aux joueurs anglais, quand ils ont rien à faire à Montréal, de prendre des cours pour être capables de parler à leurs fans en français. Quand qu'on va voir dans les hôpitaux, à Sainte-Justine, le monde qui sont malades, ils parlent juste en français, les gars, en anglais, ils se regardent en rond pis y disent pas un mot, là... j'encourage le monde toujours à parler en français. Le fait que Paul Arcand, le monde à CKAC ont tous fait un 'show' ridicule en parlant du fait que j'étais anti-francophone, c'est ridicule. Pis, ce monde-là a aucune originalité dans leur 'show'. Si y'étaient aussi bons que toi, Normand , ils seraient capables de trouver des sujets plus intéressants que le monde soit capable d'écouter, pis des sujets qui sont vrais, pas des conneries. C'est ridicule le fait que le monde, y'aime écouter les 'shows' qui sont négatifs comme ça, pis après ça, le monde y chiale que Bob Gainey ne fait pas sa 'job' d'aller chercher des joueurs autonomes, mais y'est pas capable de faire sa 'job' parce qu'il y a des médias comme eux autres qui inventent des conneries qui rendent la vie la plus dure à l'équipe, pour essayer de trouver des joueurs. C'est ça notre problème qu'on a. »
« C'est la vérité. Le monde peut dire ce qu'ils veulent. C'est sur que les médias vont vouloir se défendre. Premièrement, y'ont le dernier mot, y'ont le micro. Moi, chu pas dans le micro. Ils vont dire ce qu'y veulent, chu pas là. Quand chu là, par exemple, y disent jamais rien. Sont vraiment 'crime' de même. Sont jamais dans la chambre, ces gars-là, y connaîssent même pas le hockey. Pis l'autre affaire, tout le monde va dire que c'est la vérité, mais le monde vont faire de la route, parce que si le média l'avoue que c'est la vérité, y'ont pu de job. Si y'a pu de job, il va faire quoi, il va ramasser les poubelles? »
(Source : CorusSports)
Mon commentaire :
Ont peut dire que notre Georges n'est pas content de ce qui ce passe a Montréal avec les médias. Il en met peut-être un peu trop, oui c'est sur que les médias ont un certain contrôle sur ce qui se dit sur le canadiens. Mais la de mettre tous les médias dans le même panier je ne suis pas prêt a accepter cela. Certain journaliste, sont comme il le dit et d'autre par contre sont très professionnel et ils connaissent très bien le hockey. D'après moi, il a fait ces déclarations car il a une dent ceux qui ont dit de lui qu'il n'est plus un bon joueur et qu'il aurait dit au nouveau arrivants de ne pas apprendre le français. D'après moi, il vient encore de se tirer une balle dans le pied en faisant des déclarations de la sorte, car la plupart des médias vont se servir de cela pour le dénigrer encore plus.
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mercredi 26 août 2009
Le nouveau Canadien sauvera-t-il Gainey?
C’est la question de l’été : pis, le Canadien ? demandent immanquablement les amateurs aux journalistes assignés à la couverture du Tricolore qu’ils croisent sur leur chemin. Pas besoin d’en dire plus. On comprend tout de suite. C’est la réponse qui est complexe.
Le Canadien forme ni plus ni moins une nouvelle équipe avec sept nouveaux joueurs dans ses rangs et un nouvel entraîneur en chef, du jamais vu dans son histoire centenaire. Et de nouveaux propriétaires, ne l’oublions pas.
Dans les circonstances, il est étonnant que Bob Gainey soit encore à son poste. Quand une organisation procède à un tel remue-ménage, tout le monde y passe sans exception, le directeur général aussi. Gainey a survécu à la purge, mais il est sur la sellette. Il a beau être aimé et respecté de la famille Molson, les nouveaux propriétaires sont en droit de s’attendre à de bons résultats et ils les exigeront.
La rentabilité du Centre Bell et des secteurs connexes au hockey, c’est bien beau, mais pour eux, les performances sur la glace auront préséance.
Il leur est aussi naturel de brasser de la bière que de diriger une équipe de hockey. C’est dans leurs gènes.
Ça passe ou ça casse !
Son plan quinquennal ayant échoué, Gainey joue gros et il le sait. Il en est à la dernière année d’une prolongation de contrat de quatre ans. Il joue à quitte ou double, un jeu qu’il a déjà perdu une fois.
C’était il y a huit ans, lorsqu’il dirigeait les Stars de Dallas. Dans l’espoir de remettre à flot une équipe qui s’était échouée en deuxième ronde des séries, après deux participations consécutives en finale de la coupe Stanley, il s’était lancé dans de grosses dépenses en raflant Pierre Turgeon, Valeri Kamensky, Donald Audette et Rob DiMaio sur le marché des joueurs autonomes.
Gainey a gardé un mauvais souvenir de cette expérience.
« Le mariage augurait bien en juillet», a-t-il raconté lorsqu’il donnait son point de vue sur le marché des joueurs autonomes avec les journalistes montréalais, l’an dernier.
« Mais en novembre, c’était le divorce ! » a-t-il ajouté avec son humour bien à lui.
Audette avait été échangé au Canadien parce que Ken Hitchcock le jugeait incapable de s’intégrer à son système de jeu. En janvier, Hitchcock se voyait montrer la sortie et Gainey était mis sur une tablette.
Mais ne cédons pas à la panique. Au contraire, on réclamait des changements à grands cris depuis longtemps et on en a eu plus qu’on ne le souhaitait. La prochaine saison s’annonce à tout le moins intéressante.
Tout le monde a hâte de voir ce que la métamorphose apportée par Gainey va donner sur la patinoire. L’intérêt est tel que le Réseau des sports songe à présenter trois ou quatre matchs préparatoires, comparativement à un ou deux comme au cours des dernières années.
Martin : sa meilleure carte
Avec Jacques Martin derrière le banc, il y a lieu d’être raisonnablement optimiste. Beaucoup plus que si la direction avait fait appel à un autre entraîneur en chef sans expérience de la Ligue nationale. Martin est un homme organisé et d’une grande rigueur qui insiste sur le souci du détail et du travail bien fait.
Pour ceux qui disent qu’il connaît du succès en saison régulière, mais qu’il n’a jamais rien gagné en séries, ses 23 années d’expérience dans la LNH sont sa meilleure référence. S’il était aussi mauvais entraîneur que ses dénigreurs le disent, il y aurait longtemps qu’on ne le verrait plus.
On connaît des entraîneurs ayant remporté la coupe Stanley dans cette décennie qui sont sans travail ou qui ont bénéficié d’une deuxième chance.
Les Sénateurs d’Ottawa avaient beau compter plusieurs bons joueurs sous le régime Martin, ils n’ont jamais misé sur un gardien capable de les mener loin en séries.
Aux jeunes de se prendre en main
Ça nous amène à Carey Price.
La saison qui approche en sera une de vérité pour le jeune gardien. Price jouera son avenir au cours de la prochaine campagne. Il en est à la dernière saison de son contrat.
En prenant la peine d’être allé le voir à un camp pour gardiens à Calgary, Martin lui a montré qu’il se fiait à lui pour bien protéger le fort. Le nouvel entraîneur est un fin psychologue. Si Price ne remet pas sa carrière sur les rails sous sa direction, on se demande bien quel entraîneur réussira à avoir une influence positive sur lui.
Scott Gomez, acquis dans une transaction, aura des choses à prouver après deux saisons ordinaires avec les Rangers.
Les six joueurs cueillis sur le marché des joueurs autonomes, Mike Cammalleri, Brian Gionta, Travis Moen, Jaroslav Spacek, Paul Mara et Hal Gill, devront montrer que le Canadien a eu raison d’investir de grosses sommes dans leurs talents.
Outre Price, d’autres jeunes joueurs devront aussi faire montre de plus de sérieux et livrer la marchandise. Tomas Plekanec, s’il est encore là au début de la saison, Andrei et Sergei Kostitsyn, Guillaume Latendresse et Matt D’Agostini n’ont plus droit à l’excuse. À eux de se mettre au travail.
Si tout le monde met l’épaule à la roue, l’hiver pourrait être plus agréable qu’on n’ose le penser.
(Source : RueFrontenac)
Mon commentaire :
Selon moi, Gainey est rendu au bout de son chemin si les choses ne se concrétise pas cette saison pour lui, il sera limogé. Bien sur l'acquisition de Jacques Martin pourrait bien lui sauver la peau, car le nouvel entraineur est reconnu pour être très bien organisé et certaine fois assez strict avec ses joueurs. Bien sur les nouvelles acquisitions fait par Gainey cet été devront répondre vite a l'appel car les nouveaux propriétaire n'auront pas fait confiance a Gainey juste pour qu'il investisse dans des joueurs non productif. Je crois que Gainey sera encore en poste a la fin de la saison, mais pour la saison 2010-2011 j'en doute fort bien, il en est a ses dernier moments avec le CH. Avec toutes les signatures qu'il a fait ont va se rappeler de lui une couple d'année. Pour finir, je crois que Gainey avec tous c'est signatures, mais les joueurs mis sous contrat répondront-ils a l'appelle et les jeunes seront-ils capable de se ressaisir?
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mardi 25 août 2009
Vancouver 2010 - Hockey : Au travail!
Le choc des générations se fera sentir pendant quatre jours à Calgary.
Le camp d'orientation de l'équipe canadienne masculine de hockey s'est amorcé, lundi soir.
Les vétérans comme Simon Gagné ne manqueront pas de compétition. Sur les 46 joueurs invités, 19 sont âgés de moins de 25 ans.
« J'ai regardé la liste cet été, a mentionné l'attaquant des Flyers de Philadelphie. Il y a vraiment beaucoup de talent, de bons jeunes joueurs qui poussent. Peut-être que j'ai l'expérience des Jeux de 2002 et 2006 et que ça me donne un avantage, je ne sais pas. Mais je pense que mon poste est à gagner. »
Martin Brodeur, lui, ne pense pas si loin. Il voit plutôt la semaine comme une période de familiarisation.
« L'important, c'est que les joueurs, les entraîneurs commencent à se connaître, croit le gardien des Devils du New Jersey. Ce sera plus ça que ce qui va se passer sur la patinoire. Mais on a tous une fierté, on veut arriver au camp en meilleure forme possible. »
Si les vieux routiers comme Gagné et Brodeur parlent des expériences anciennes, Marc-André Fleury mesure encore l'ampleur de l'événement.
« C'est excitant de voir tout le monde ici à l'aéroport pour nous, a admis le gardien de 24 ans des Penguins de Pittsburgh. Mais c'est un peu intimidant de côtoyer les joueurs que je regardais en grandissant. »
Yzerman comme Brodeur
Steve Yzerman a déjà connu les retombées positives de cette expérience.
Le directeur administratif d'Équipe Canada a participé au premier camp du genre, quelques mois seulement avant que le pays mette fin à une disette de 50 ans sans médaille d'or, à Salt Lake City, en 2002.
L'ancienne légende des Red Wings aborde le camp de la même façon que Brodeur.
« Je pense que l'utilité de ce camp est de rendre les joueurs à l'aise les uns avec les autres, a-t-il mentionné. C'est l'une des seules occasions pour eux de passer du temps ensemble avant le tournoi. »
Yzerman prévoyait prononcer un discours avant que les candidats sautent sur la patinoire pour la première fois. Son message?
« Juste quelque chose à propos de ce que j'espère que nous accomplirons en quatre jours à Calgary. Je voudrais aussi leur faire connaître mes attentes au sujet de l'équipe et leur indiquer ce que nous évaluerons, Kevin Lowe, Ken Holland, Doug Armstrong et moi, pour prendre nos décisions. »
« Nous plantons les graines en août pour nous assurer que les joueurs savent ce que nous attendons d'eux en prévision des Jeux, a indiqué, de son côté, le président de Hockey Canada, Bob Nicholson. Ils ont besoin de préparation. »
La formation de 23 joueurs sera dévoilée seulement en décembre.
À Vancouver, le Canada voudra racheter sa 7e place des Jeux de Turin en 2006.
Liste des invités
Gardiens
* Martin Brodeur (New Jersey)
* Roberto Luongo (Vancouver)
* Cam Ward (Caroline)
* Marc-André Fleury (Pittsburgh)
* Steve Mason (Columbus)
Défenseurs
* François Beauchemin (Anaheim)
* Jay Bouwmeester (Calgary)
* Dan Boyle (San José)
* Brent Burns (Minnesota)
* Drew Doughty (Los Angeles)
* Mike Green (Washington)
* Dan Hamhuis (Nashville)
* Duncan Keith (Chicago)
* Scott Niedermayer (Anaheim)
* Dion Phaneuf (Calgary)
* Chris Pronger (Philadelphie)
* Robyn Regehr (Calgary)
* Stéphane Robidas (Dallas)
* Brent Seabrook (Chicago)
* Marc Staal (N.Y. Rangers)
* Shea Weber (Nashville)
Attaquants
* Jeff Carter (Philadelphie)
* Dan Cleary (Détroit)
* Sidney Crosby (Pittsburgh)
* Shane Doan (Phoenix)
* Simon Gagné (Philadelphie)
* Ryan Getzlaf (Anaheim, blessé)
* Dany Heatley (Ottawa)
* Jarome Iginla (Calgary)
* Vincent Lecavalier (Tampa Bay)
* Milan Lucic (Boston)
* Patrick Marleau (San José)
* Andy McDonald (St. Louis)
* Brenden Morrow (Dallas)
* Rick Nash (Columbus)
* Corey Perry (Anaheim)
* Mike Richards (Philadelphie)
* Derek Roy (Buffalo)
* Patrick Sharp (Chicago)
* Ryan Smyth (Colorado)
* Jason Spezza (Ottawa, remplace Ryan Getzlaf)
* Martin Saint-Louis (Tampa Bay)
* Eric Staal (Caroline)
* Jordan Staal (Pittsburgh)
* Joe Thornton (San José)
* Jonathan Toews (Chicago)
(Source : Yahoo)
Mon commentaire :
Je crois que ce camp va être bénéfique pour les joueurs, car avec les vétérans invité combiné aux jeunes cela pourra apporter une belle compétition interne. Dans les filets, avec des gardiens comme Brodeur, Fleury, Mason, Ward et Luongo, ont peut dire que peut importe lequel va se retrouver aux olympiques le Canada pourra compter sur un excellent cerbère! En défense il y a beaucoup de jeunes qui ont été invité comme, Doughty,Hamhuis, Keith et Marc Staal. Mais la plupart de la composition de l'équipe est majoritairement assez jeune et donc ont est loin de voir des vétérans comme Blake et Foote. Donc ont pourra compter sur des jeux beaucoup plus rapide. En attaque, les joueurs invité sont la crème de la crème avec Crosby, Thornton, Carter, Iginla, Heatley,Lecavalier,Spezza,Eric Staal,Toews et j'en passe! Seulement c'est neuf joueurs font parti de l'élite de la ligue et donc logiquement ils pourraient former les trois premier trios de l'équipe. En général l'équipe du Canada est beaucoup plus supérieur a celle de Turin en 2006 et je crois que le Canada a beaucoup plus de chance de remporter une médaille cette année!
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lundi 24 août 2009
Le retour des Broad Street Bullies?
Les Broad Street Bullies ont semé la terreur sur les patinoires de la Ligue nationale de hockey pendant les années 70. Leur style de jeu intimidant en a fait craindre plus d'un. Plusieurs durs-à-cuire de l'époque ont déjà affirmer avoir eu peur de d'aller jouer au Spectrum de Philadelphie. Ces bêtes déchaînées, menées par un leader hors-pair en Bobby Clarke et un entraîneur sanguinaire en Fred Shero*, ont d'ailleurs remporté deux coupes Stanley en 1973-1974 et en 1974-1975. Est-ce que la mentalité des d'autrefois pourrait refaire surface cette année ?
Le banc de pénalité sera plein
Les Flyers ont déjà prouvé dans les dernières années qu'ils ne détestaient pas le jeu rude. Pour ceux qui ont une bonne mémoire, rappelez-vous les Carter, Vandermeer et cie qui avaient arrêté de jouer pour aller se battre contre Josh Gorges alors que Bouillon s'en allait marquer ! Eh bien, il semble que les Flyers de cette année pourraient supplanter ceux d'il y a deux ans, alors que Downie, Boulerice, Hartnell, Jones et Cote avaient tous été suspendus. Depuis l'arrivée de Chris Pronger, les Flyers semblent de plus en plus intimidants. En fait, il possède un joueur pouvant atteindre le plateau des 300 minutes de pénalité en Daniel Carcillo, trois autres (Cote, Asham, Hartnell) pouvant facilement accumuler 150 minutes de pénalité ainsi que quelques autres pouvant atteindre le plateau des 100 minutes. Sans oublier le nouvel homme, j'ai nommé ici Ray Emery. Ceci dit, les Flyers ne pourriront pas aux bas fonds du classement pour autant. Avec autant de profondeur à l'avant et à l'arrière, on ne peut les classer à l'extérieur du top 4 de l'association de l'est.
Retour en arrière
Il est possible d'établir plusieurs comparaisons entre les Flyers de cette année et les Broad Street Bullies des années 70. Premièrement, les nouveaux comptent sur un jeune capitaine fougueux en Mike Richards tout comme les anciens comptaient sur Bobby Clarke. Ensuite, les gros marqueurs comme Leach, MacLeish et Barber sont désormais remplacés par Carter, Gagné et Hartnell. Chris Pronger peut être comparer à un André Dupont moins punis et plus talentueux. La réincarnation de Dave Schultz pourrait très bien se faire au travers de Daniel Carcillo. Et comme auparavant, les comptent sur certains joueurs marginaux sur qui ont comptent pour jeter les gants plusieurs fois par année. Bref, si Ray Emery peut être dominant comme l'a été Bernard Parent dans les années 70, le défilé de la Coupe se fera peut-être bien dans la ville de la fraternité !
*Petite anecdote sur Fred Shero : Lors de la Série du Siècle de 1972, Shero, entraîneur de l'équipe canadienne aurait regardé dans les yeux et demandé à Bobby Clarke d'arrêter Kharlamov puisque ce dernier détruisait l'équipe canadienne grâce à son immense talent. Au retour de l'équipe sur la patinoire, Clarke utilisa son bâton comme s'il était une hache et il fractura la cheville de Kharlamov qui fut blessé pour le reste de la série. On connaît tous la suite !
(Source : CHFANS)
Mon commentaire :
Voici une analyse d'un de mes collègue sur Chfans que je tenais a vous faire découvrir.
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dimanche 23 août 2009
Le Canadien à 25, 50, 75 et 100 ans…
Lorsqu’on fait le bilan de notre vie ou de la vie d’une personne, il est toujours intéressant de constater où on était rendu à un certain âge. J’ai fait ce petit exercice avec l’Histoire du Canadien et malgré les époques très différentes, c’est quand même assez surprenant de voir que certains éléments sont parfois très similaires alors qu’à d’autres moments c’est très différent…
L’administration
À 25 ans : Le président de l’équipe était Athanase David, le directeur-général Léo Dandurand et l’entraîneur-chef Newsy Lalonde (qui a démissionné en cours de saison et remplacé par Dandurand).
À 50 ans : Le président était Hartland de M. Molson, le directeur-général Franck Selke et l’entraîneur-chef Toe Blake
À 75 ans : Le président était alors Ronald Corey, le directeur-général Serge Savard et l’entraîneur-chef Jacques Lemaire
À 100 ans : Actuellement, le président est Pierre Boivin, le directeur-général est Bob Gainey et l’entraîneur-chef Jacques Martin…
Le Capitaine
À 25 ans : Sylvio Mantha
À 50 ans : Maurice Richard
À 75 ans : Bob Gainey
À 100 ans : On spécule, on ne le sait pas encore et peut-être qu’il y en n’aura pas…
La situation financière
À 25 ans : L’équipe était en déficit de 46 000$ au terme de leur 25ième anniversaire. Dandurand revendra l’équipe à Ernest Savard… Elle demeure sur la pente descendante et risque de fermer ses portes si la situation continue à l’instar de leurs colocataires les Maroons…
À 50 ans : Hartland de M. Molson est propriétaire de l’équipe depuis quelques années, le Forum a été rénové pour la première fois une dizaine d’années auparavant et tout va bien dans le meilleur des mondes… Clarence Campbell va jusqu’à attribuer l’augmentation des assistances partout dans la ligue aux Canadiens…
À 75 ans : Bien que l’équipe ne soit pas mal prise financièrement, elle doit se méfier de la diversité sportive professionnelle disponible au Québec durant cette période avec les Nordiques et les Expos…
À 100 ans : Forbes a classé l’équipe au troisième rang des équipes des plus chères de la LNH et celle-ci vient d’être revendue à la famille Molson dans les environs de 600 millions… Le Centre Bell est toujours plein et parfois les partisans vont remplir les arénas des autres équipes…
Les performances de l’équipe
À 25 ans : L’équipe termine 3ième de sa division et 7ième au classement général. Elle sera éliminée dès la première ronde. Ironiquement, la Coupe Stanley aboutira à Montréal mais avec les Maroons… L’équipe tombera par la suite sur la pente descendante...
À 50 ans : Premiers dans toutes les catégories, le Canadien remporte la Coupe Stanley pour la cinquième fois consécutive… Par la suite malgré une légère baisse, l’équipe rebondira…
À 75 ans : L’équipe connait un bon revirement par rapport à l’année précédente en terminant 1er dans leur division, 3ième dans leur conférence et 5ième au général. Malheureusement ils seront éliminés en deuxième ronde avant de réaliser ce que tout le monde semblait impossible un an plus tard…
À 100 ans : On espère d’abord une place en série et après on verra…
Mouvements de personnel
À 25 ans : Léo Dandurand réalise pas moins de 15 transactions au cours de l’année du 25ième anniversaire de l’équipe ce qui provoquera la démission de son entraîneur Newsy Lalonde. Dandurand descendra lui-même derrière le banc pour le remplacer. La principale de ses 15 transactions est celle qui impliquera Howie Morenz échangé en raison du plafond salarial…
À 50 ans : Pas vraiment de changement car ce n’était vraiment pas nécessaire si on fait exception de Jean-Claude Tremblay qui a disputé quelques matchs au cours de la saison…
À 75 ans : Les transactions et le repêchage sont directement liés au cours du 75ième anniversaire du Canadien. Une de celle-ci permettra aux Canadiens d’obtenir les deux premiers choix des Blues de St-Louis. Le Canadien repêchera dans l’ordre Petr Svoboda, Shayne Corson, Stéphane Richer et Patrick Roy…
À 100 ans : Il est un peu trop tôt pour évaluer les choix au repêchage mais à court terme ce qui frappe le plus est l’échange qui a permis d’acquérir Scott Gomez ainsi que les quatre joueurs autonomes signés par l’équipe… Et apparemment que le magasinage de Gainey n’est pas fini…
Meilleur compteur
À 25 ans : C’est Pit Lépine qui mène au chapitre des points avec 31 alors que Leroy Goldsworthy mène au niveau des buts avec 20…
À 50 ans : Jean Béliveau mène le championnat des pointeurs chez le Canadien et est troisième dans la LNH avec 74 points. Henri Richard domine pour les buts avec 43 et est cinquième marqueur de la ligue…
À 75 ans : C’est le Suédois Mats Naslund qui mène la colonne des buteurs (42) et des pointeurs chez le Canadien avec 79. Fait à noter l’impressionnant total de 55 passes du défenseur Chris Chelios…
À 100 ans : C’est Alex Kovalev le meilleur pointeur et butteur (26) de la saison précédente avec 65 points. À noter les 52 passes d’Andreï Markov à 3 du record de Chris Chelios… Pour les vrais meneurs du 100ième anniversaire, on en est encore aux spéculations…
Gardiens de buts
À 25 ans : C’est l’ancien gardien d’utilité Wilf Cude qui est en fonction chez le Canadien.
À 50 ans : Jacques Plante qui venait de populariser le masque au cours du 50ième anniversaire de l’équipe est au sommet de son art. Il remporte le trophée Vézina et se mérite une place au sein de la seconde équipe d’étoiles…
À 75 ans : Tout le monde ne jure que par le jeune Steve Penney qui mérite une place au sein de l’équipe d’étoile des recrues. Pendant ce temps, le dernier gardien repêché Patrick Roy passe inaperçu…
À 100 ans : Carey Price ou Jaroslav Halak? Qui sera échangé? Qui débutera la saison? Qui est numéro 1? Les débats sont encore ouverts…
Événements majeurs
À 25 ans : L’échange d’Howie Morenz et les difficultés financières des équipes Montréalaises qui mèneront à sa vente…
À 50 ans : Le masque de Jacques Plante, la cinquième Coupe Stanley consécutive du Canadien, Maurice Richard, Henri Richard, Jean Béliveau, Dickie Moore et tout le reste de l’équipe pour leurs performances…
À 75 ans : La retraite de Guy Lafleur, l’échange de Steve Shutt, le repêchage, les 55 passes de Chris Chelios, la rivalité Canadiens-Nordiques, l’élimination du Canadien par les Nordiques et la continuation de la croisAde de Ronald Corey pour ramener les anciens…
À 100 ans : Les mouvements de joueurs de Bob Gainey, les histoires hors-glace des joueurs, la vente de l’équipe et le centenaire…
Les partisans
À 25 ans : Howie Morenz subit les foudres des partisans en raison de la baisse de ses performances et les gens commencent à déserter le Forum pour à la fois des raisons financières dues à la crise économique et parce que le club performait moins bien… C’est le club de Millionnaires qui font énormément de bruits dans les estrades qui servent de fan-club…
À 50 ans : Tout le monde est ben content, l’équipe remporte une cinquième Coupe consécutive et les défilés sont rendus un événement annuel… En revanche, les rumeurs de retraite pour Maurice Richard commencent aussi à faire parler…
À 75 ans : Les partisans sont divisés entre le Canadien et les Nordiques ce qui suscitent des débats dans les lignes ouvertes. Certains sont tellement divisés qu’on lance la mode du chandail des Canadiens avec les culottes de joggings des Nordiques (ou le contraire)… Le Canadien fonde son propre fan-club…
À 100 ans : Le Canadien est redevenu populaire et leurs moindres gestes sont scrutés. Étant à l’ère de l’Internet et aux nouvelles/réactions instantanées, ce sont les forums de discussions qui servent de fan-club…
Si les différents faits et aspect traités ne vous ont pas déjà situés dans le temps, sachez que le 25ième anniversaire correspond à la saison 1934-1935, le 50ième anniversaire à 1959-1960, le 75ième à 1984-1985 et que bien évidemment le 100ième anniversaire est la saison qui s’en vient…
(Source : Chfans)
Mon commentaire :
Voila un travail colossale que je tenais a vous faire découvrir.
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vendredi 21 août 2009
Bruins : Une suggestion à Price
Steve Bégin porte maintenant fièrement l'uniforme des Bruins de Boston, mais il n'a pas oublié son ancien amour, le Canadien.
Malgré les déboires de Carey Price l'an dernier, Bégin fonde toujours de grands espoirs dans l'homme masqué.
« Je n'ai aucun doute que Price va rebondir, il a tout simplement trop de talent », affirme Bégin à sa sortie d'un entraînement avec d'autres professionnels à Boisbriand.
L'ancien numéro 22 du CH reconnaît toutefois que Price devra changer certains comportements. L'arrivée d'un entraîneur d'expérience comme Jacques Martin ne nuira pas non plus, aux dires de Bégin.
« Carey doit juste se concentrer sur son jeu et bien s'entourer. »
Sous d'autres cieux que Montréal depuis la fin de février, Bégin reste ébahi des modifications apportées par Bob Gainey au cours de l'été.
« Je serais menteur si je disais que je ne suis pas surpris par les nombreux changements du Canadien. Personne ne s'attendait à cela, mais il s'agit de la nouvelle réalité du hockey. Il y a plus de va et viens. Dix nouveaux joueurs, c'est possiblement une première pour le Canadien. »
Zéro en dix
Des 10 joueurs autonomes du Tricolore, Bégin s'attendait à certains retours.
« Je croyais qu'Alex Tanguay, Saku Koivu et Alex Kovalev, surtout Kovalev, allaient revenir à Montréal. J'aurais gagé n'importe quoi qu'il y en aurait au moins un de retour, mais ce n'est pas le cas. »
Malgré une multitude de nouveaux visages dans le vestiaire, Bégin ne déteste pas la nouvelle image de ses futurs rivaux de division.
« C'est une nouvelle chimie. L'an dernier, rien ne fonctionnait pour le Canadien. Il y avait plusieurs problèmes dans la chambre. Avec une nouvelle équipe, tout peut rouler sur des roulettes ou tout peut devenir difficile. Mais je crois qu'ils ont fait de bonnes acquisitions avec les Gomez, Cammalleri et Gionta. Ils ont aussi ajouté du poids avec Mara, Gill et Moen. »
Fin analyste, Bégin remarque toutefois un éternel manque à Montréal.
« Il parlait toujours d'obtenir un gros joueur de centre, mais je pense qu'il n'est pas encore là. Malgré tout, je crois que le Canadien forme une bonne équipe. »
Un contrat éclair
Auteur d'une saison de 12 points (7 buts, 5 passes) en 62 matchs avec le CH et les Stars de Dallas l'an dernier, Bégin n'a pas mis de temps à se dénicher un nouvel employeur.
Avant l'ouverture du marché des joueurs autonomes, il avait encerclé la ville de Boston comme une destination souhaitable. Les Bruins ont rapidement cogné à sa porte.
« C'était un choix assez facile pour moi. Entre l'appel des Bruins et ma signature, il s'est écoulé seulement 15 minutes. Je me considère vraiment chanceux, puisque je cadre bien avec le style agressif des Bruins. »
À Boston, il renouera avec un homme de confiance et un ancien ennemi sur glace.
« Je retrouve Claude Julien avec les Bruins. J'ai connu mes meilleurs moments sous ses ordres avec le Canadien. Je retrouve aussi Zdeno Chara. J'ai toujours su qu'on deviendrait de grands amis moi et lui. Ça va faire bizarre de jouer avec lui, mais j'aime mieux l'avoir de mon bord. »
(Source: Yahoo)
Mon commentaire :
C'est bien de voir que Steve Bégin suit encore les activités de CH, car ont le sait tous il a toujours un petit partie pris pour eux. Dans son commentaire sur Carey Price, je crois qu'il a raison, sur le fait que le jeune gardien devrait se concentrer plus sur le hockey. Ont apprend qu'il a signé en seulement 15 minutes, ca fait bizarre de voir qu'il a voulu signé las-bas, mais juste le faite que Claude Julien soit la aura pencher en sa faveur. Il connaitra une bonne saison avec les Bruins, car il sera dans un climat qui l'avantage du a son style de jeu qui est similaire avec la plupart des joueurs des Bruins.
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jeudi 20 août 2009
Laraque donne ses conseils aux nouveaux
Georges Laraque a confiance que la «nouvelle» équipe du Canadien de Montréal saura répondre aux attentes. Il a tout de même voulu donner quelques conseils à Scott Gomez, Mike Cammalleri, Brian Gionta et à tous les autres nouveaux visages de l'équipe.
« N'apprends pas le français et tu seras correct. Ils sont anglophones, ils n'auront pas besoin de parler aux médias francophones », a-t-il blagué.
En entrevue avec Sportsnet.ca, Laraque n'a pas voulu dissuader les nouveaux joueurs de l'équipe d'apprendre le français. Néanmoins, il croit qu'il est plus facile vivre avec la pression des médias montréalais lorsqu'on ne maîtrise pas la langue de Molière.
« La pression exercée par les médias à Montréal, autant francophones qu'anglophones... Étant donné qu'il y a deux langues, c'est très différent, et la plus grosse couverture se fait en français. La population vit pour le hockey. C'est presque comme s'il n'y avait que le hockey à Montréal », a ajouté le colosse.
« Dans d'autres villes, tu te fais juger selon ta manière de jouer au hockey. Si tu ne joues pas bien, tu vas l'entendre à Calgary ou Edmonton. À Montréal, ce n'est pas juste le hockey qui est jugé, mais ta vie en entier. Il n'y a pas de vie privée. Peu importe ce que tu fais sur et en dehors de la glace, tu vas être scruté à la loupe. »
L'année dernière, les distractions et les problèmes se sont accumulés dans l'entourage du Canadien. Plusieurs prétendent que le 100e anniversaire du Tricolore a tourné au cauchemar, au désastre.
« Tout le monde dit ça. Nous avons fait les séries. Nous avions quatre blessés majeurs en séries éliminatoires : Markov, Schneider, Lang et Tanguay. Avec ces quatre joueurs en santé, je crois que nous aurions battu Boston », a souligné Laraque.
« À un certain moment, on dirait que tout allait s'écrouler et que nous n'allions pas nous qualifier pour les séries éliminatoires. Ça, ça aurait été un désastre. »
Le Canadien n'a pas su répondre aux attentes et c'est pourquoi le directeur général, Bob Gainey, a complètement changé l'image de son équipe.
« Nouvelle administration, nouveaux propriétaires, nouveaux entraîneurs. Après ce qui s'est passé la saison dernière, je crois qu'ils voulaient un nouveau départ. Ils voulaient une meilleure et une plus jeune équipe », a confié le Québécois.
« Avec tous ces changements, il y a des attentes. C'est une chose d'avoir tous ces joueurs, mais une chimie doit s'installer. »
« Je crois que ça va fonctionner », a-t-il conclu.
(Source : CorusSports)
Mon commentaire :
C'est bizarre de voir Laraque donner des conseils de la sorte aux nouveaux joueurs, car lui-même se sert des médias pour son plaisir.Ont peut voir qu'il essai de dissuadé en blague les nouveaux joueurs de ne pas apprendre le français, selon moi, il se tire dans le pied en disant cela. Car si ont se fie sur la carrière de Koivu a Montréal, la plupart des partisans exigeaient que le capitaine parle français et il ne la jamais fait. Alors, si Gomez veut l'apprendre, nous les partisans nous ne serons pas déçu de cette action et même s'il casse le français comme Brian Savage. C'est juste le fait qu'il se force et qu'il essai, comme cela il sera plus apprécié des partisans, bien sur ses performances sur la glace devra suivre. La vie des joueurs est un peu structé ici a Montréal, mais la façon de jouer aussi, donc quand qu'il dit qu'ailleurs ils sont seulement joué pour leur façon de jouer, je ne suis pas d'accord. Car ici, tout dépend de ce que le joueur fait en dehors de la glace, si le joueur reste tranquille et fait quelque apparation ici et la, il ne sera jamais épier comme il le dit. Nous avons une panoplie d'experts pour analyser la facon dont qu'ils jouent et cela est seulement ici a Montréal car le hockey est une religion. Pour ce qui est des séries je lui donne raison car avec Markov , Schneider , Lang et Tanguay, l'équipe ne pouvait rivalisé avec les Bruins et sans compter que Price n'était a son meilleur. La seule chose que je peux dire contre lui, c'est d'avoir caché qu'il n'était pas en santé en début de saison et pendant la saison. J'ai trouvé cela un peu hypocrite, alors j'espère que Georges va être plus honnête cette saison et qu'il ne fera de grosse déclaration comme il la fait l'an passé.
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mercredi 19 août 2009
Entrevue avec Alexander Avtsin
"Ma place sera bientôt ici"
Les camps de développement servent à introduire les jeunes hockeyeurs aux fondements du hockey de la . On perfectionne le coup de patin, le maniement de rondelle, les lancers, en plus des leçons théoriques. Le dernier jour du camp on joue un match simulé. Ca rappelle les camps de vacances d'été.
Par son intensité, le camp de développement est beaucoup plus ardu que le réel camp d'entraînement à l'automne. Les séances commencent à 9 heures le matin et ne finissent que le soir. Comme le disait Souvorov (commandant russe) "difficile à l’entraînement, facile à la guerre". Cette expression, les jeunes canadiens l'ont expérimentés sur eux-mêmes.
(...)
À la séance de repêchage, on disait du jeune moscovite qu'il était la carte cachée de la foire des jeunes talents (sic!). Choisi 109ieme, il pourrait bien se développer comme l'une des figures importantes de la . Seul le temps le dira, pendant ce temps Avtsyn sous les feux des journalistes montréalais répond aux questions dans un anglais assez décent.
Avec l'afflux de jeunes joueurs, l'immense vestiaire des est soudainement devenu trop étroit pour les accueillir tous convenablement. Ainsi, certaines recrues n'ont reçu qu'un cintre en guise de place dans le vestiaire. Après une de nos conversations, Avtsyn a pris l'effigie à son nom pour la coller à l'endroit d'un des réguliers chez le canadien: ma place sera bientôt ici.
"Il faut apprendre deux langues"
- Ici, les méthodes d'entraînement sont différentes, me confie Avtsyn. En Russie, elles sont bonnes aussi, mais ici on accorde plus de place aux techniques de patinage et pour le jeu à un contre un. On travaille beaucoup avec la rondelle, le ballon, on lance beaucoup.
L'organisation du camp est excellente. Tout est pensé au jusqu’au moindre détail, du shampoing dans la douchhe avec la crème à raser au le gel pour les cheveux. On m'a donné un uniforme du Canadien, c'est super.
- Etes-vous content d'avoir été repêché spécifiquement par le Canadien ?
- Oui, je suis très heureux. En fait, je n'étais pas très surpris d'avoir été repêché par Montréal. Leurs dépisteurs m'ont suivi en Russie ; plus tard Trevor Timmins est venu me voir jouer à Moscou.
Je me suis déjà fait des amis russes ici, mais je ne me suis pas installé chez eux, mais à l'hôtel.
- As-tu eu assez de temps libre pour visiter la ville?
- Le soir oui, seulement le soir. On nous a montré un vidéo sur comment les joueurs de la vivent ici, ce que l'on peut faire (et ne pas faire). C'est votre vie, vous savez quoi en faire, on est seulement là pour vous aider.
Notre entraînement se terminait vers 8h00 le soir et à 23h00 c'était le couvre feu. On peut se promener près de l'hôtel, même faire un petit saut au centre ville. J'ai eu le temps d'apprivoiser la ville un peu. C'est bien ici. Je suis même allé au festival de Jazz, même si c'est pas mon genre de musique préféré, c'était intéressent.
- Tu sais que l'alignement de l'équipe change radicalement?
- Je sais seulement que Kovalev est parti à Ottawa. Mon opinion? Alex est un bon joueur mais c'était son choix. Je sais que les lui ont offert un contrat, mais il a décidé d'y penser. Puis l'équipe a retiré son offre. C'est ce que l'on m'a dit.
- Sentez-vous la pression médiatique de Montréal, chacun de vos pas est suivi par la télé.
- Ah bon? Je croyais que c'était comme ça partout au Canada. Je m'habitue tranquillement d'être un otage, ce ne sera pas un problème pour moi.
- Comment entrevoyez vous votre carrière?
- Je suis sous contrat avec le Dynamo, l'année prochaine je jouerai en Russie.
- Dans la MHL (nouvelle ligue junior russe)?
- Ou dans la , je serais probablement entre les deux. Mais dans un an je voudrais revenir à Montréal. Je voudrais sécuriser un poste à Hamilton puis je travaillerai pour monter à Montréal.
- Ca ne vous dérange pas que ce soit un club bilingue?
- Il va falloir étudier non seulement l'anglais, mais le francais aussi. Ca va me servir dans la vie. Je parle un peu l'anglais, je l'ai appris à l'école, mais je ne vais pas souvent à mes cours, le hockey prend tout mon temps. Il faut que j'y travaille.
"On te demande déjà des autographes"
- Lors du repêchage vous avez dit que votre style ressemblait à celui d'Ovechkin. Est-ce vraiment le cas?
- Partiellement, oui. J'essaie comme lui de lancer beaucoup et de jouer un style physique. Même nos noms de familles se ressemblent un peu, sourit Avtsyn. Je ne suis pas encore aussi puissant qu'Ovechkin, j'ai encore beaucoup à améliorer.
- Tout de suite après le repêchage, on a commencé à prendre ton autographe!
- J'étais vraiment surpris. En Russie, il aurait fallu que joue peut-être encore 5 ans avant que quelqu'un me demande une signature. Ici, personne ne me connaît et déjà on me demande des autographes, des photos... C'est vraiment agréable, on voit tout de suite que Montréal est une ville de hockey.
- Et sur la rue, est-ce qu'on vous reconnaît?
- Non. Mais la journée du draft, la réceptionniste à l'hôtel m'a dit " je sais que tu vas revenir ici dans un an"! J'ai l'impression qu'ici absolument tout le monde suit le hockey.
- Qu'est-ce qu'il faut que tu améliores? Sur quels aspects le club a mis l'accent?
- En premier lieu la vitesse. Non seulement le vitesse sur la glace, mais surtout la vitesse de réaction. Les batailles dans les coins, sortir plus rapidement avec la rondelle. Beaucoup de petites choses, encore énormément de travail en vue. Je me rappelle de tous les exercices que j'ai fait ici, quand je rentrerai en Russie je vais tous les appliquer.
- Avec la venue de la nouvelle MHL crois tu que les jeunes russes auront plus de visibilité?
- Je crois que oui. De ce que je sais, la MHL sera très médiatisée comme la . Certainement plus intéressant que lorsque je jouais pour le Dynamo-2.
"À propos"
Patrick Roy voulait voir Avtsyn en action et planifiait même de passer à Montréal pour le faire. Rappelons qu'un autre Alexandre (Radulov) a joué pour son équipe, Patrick l'a tellement aimé qu'il considère encore aujourd'hui presque comme un de ses fils.
"Citations"
Trevor Timmins: " On ne pouvait laisser passer la chance de repêcher Avtsyn. Il joue déjà un style nord américain, il ne craint pas le jeu physique et possède un excellent lancer. Un attaquant comme lui, ce n'est pas facile à trouver. Oui, il y avait un risque que le jeune ne vienne pas en Amérique, le facteur russe comme on l'appelle, mais on a décidé de ne pas y prêter attention.
On sait qu'Avtsyn va passer la prochaine saison en Russie, mais il y a une bonne chance que l'année suivante il joue pour Patrick Roy. Lorsqu'on préparait le repêchage, nous avons parlé de Avtsyn à Roy, et celui ci n'a pas douté de le repêcher à son tour. "
(Source : Chfans)
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mardi 18 août 2009
Filatov supplantera-t-il Tavares ?
La cuvée 2009 des recrues de la Ligue nationale de hockey va bien au-delà du tout premier choix au repêchage de juin dernier, John Tavares, selon le réputé magazine Hockey News.
En effet, le recruteur Murray Townsend prédit que la meilleure recrue en 2009-2010 sera le Russe Nikita Filatov, des Blue Jackets de Columbus.
« Ne vous fiez pas à sa petite stature, a mentionné Townsend. Cet ailier est parfaitement capable de se mesurer aux autres joueurs de la Ligue nationale. Déjà, à 19 ans, il peut changer l'allure d'un match à lui seul. On a pu le constater lors des derniers championnats du monde de hockey junior. »
Au sujet de la production de Filatov pour la prochaine saison, Hockey News lui prédit une récolte de 53 points, sept de moins que John Tavares, des Islanders de New York, avec 61 points.
« Il n'y aucun doute possible au sujet de Filatov, a indiqué un recruteur. Il a tout le talent pour réussir. Il aura peut-être besoin d'une année d'expérience avant d'atteindre ce statut, mais il sera un incontournable ».
Après avoir été rappelé par les Blue Jackets de leur équipe-école de Syracuse, dans la Ligue américaine, Filatov a marqué quatre buts en huit parties.
Pour revenir à Tavares, Hockey News le voit comme le meilleur marqueur des recrues de la Ligue nationale. « Bien que des observateurs questionnent son coup de patin, il est un marqueur naturel comme on en voit rarement, a analysé le recruteur. Je crois sincèrement qu'il obtiendra plus de succès que les deux choix suivants, Victor Hedman (Tampa Bay) et Matt Duchene (Colorado), étant donné qu'il jouera au sein d'une équipe qui a grandement besoin de marqueurs. Il aura sa chance et obtiendra beaucoup de temps de glace ».
Hedman « complet »
À propos de Hedman, un défenseur de 18 ans, et de Duchene, un centre de 18 ans, Hockey News leur prédit une saison de 41 et 48 points respectivement. « Hedman est un défenseur complet qui contrôle bien la rondelle. Il possède les qualités d'un bon passeur et est doté d'un puissant tir frappé. Quant à Duchene, il est aussi bon à l'attaque qu'à la défensive et possède un excellent coup de patin, ce dont l'Avalanche a besoin ».
Les centres Cody Hodgson, des Canucks de Vancouver (52 points), Evander Kane, des Thrashers d'Atlanta (50 points), Colin Wilson, des Predators de Nashville (44 points), Tyler Bozak, des Maple Leafs de Toronto (35 points) et Artem Anisimov, des Rangers de New York (34 points) ainsi que le défenseur Matt Gilroy, des Rangers de New York (45 points) font également partie du top 10 des recrues de Hockey News.
Il est à noter qu'aucun espoir de l'organisation du Canadien ne fait partie de ce top 10.
(Source : RueFrontenac)
Mon commentaire :
D'après moi, la lutte se sera serré entre Filatov et Tavares, mais la partie sera remporté par Tavares, pourquoi? Parce qu'il obtiendra beaucoup plus de temps de glace que Filatov et que Tavares aurait un rôle sur le premier trio. Filatov aurait surement un rôle sur le deuxième trio mais pas plus. Je suis convaincu que le jeune Hedman et Duchene seront de l'alignement partant de leur équipe cette saison, a moins qu'il connaissent vraiment un mauvais départ. Avec les places disponibles dans la formation autant a Tampa Bay et Coloroda, je crois que les dirigeants pourrait être patient a leur endroit et même malgré un mauvais départ. La lutte se feras sans aucun doute entre Filatov et Tavares, a moins qu'il est des surprises, il faut surveiller de proche le gardien de but des Maples Leafs Jonas Gustavsson, a 24 ans, il pourrait bien faire comme Niklas Backstrom et avoir un impact immédiat sur son club. Même Hedman pourrait gagner le Calder, car s'il produit une bonne quarantaine de points et qu'il connait une bonne saison en défensive, il pourrait mettre la main sur le fameux trophée.
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lundi 17 août 2009
Canadiens : C, a, a?
En auto, en cas de problème, on utilise souvent l'assistance routière comme le CAA.
Mais, ces lettres sont sur toutes les lèvres dernièrement, pour savoir qui va les porter dans l'équipe.
Depuis quelques saisons, les C,A, A des Canadiens n'ont pas toujours été d'une assistance très efficace ou constante.
Certains croient que l'équipe n'a plus de capitaine, tandis que d'autres spéculent.
Personnellement, avec cette transplantation d'organes que Bob Gainey nous a servis, je crois qu'il y a beaucoup de leadership dans l'équipe.
Qu'est-ce qu'un leader?
Pour moi, un leader, c'est une personne qui attire les autres. Dans une équipe de hockey, un leader c'est celui qui regroupe, qui attire les joueurs. Un bon leader dans une équipe de hockey, c'est celui qui regroupe et qui attire tous les joueurs.
Pour moi, un leader, c'est pas nécessairement quelqu'un avec une grande gueule, mais c'est définitivement une personne qui rassemble. Il doit être un bon communicateur.
C'est pourquoi je n'ai jamais trouvé que Saku Koivu était un bon leader.
Dans le vestiaire des Canadiens , il y a quelques candidats qui semblent avoir du leadership. Andrei Markov semble attirer beaucoup de joueurs. Il ne semble pas être un grand parleur, mais contrairement à ce qu'on pense, il est simplement gêné en anglais, surtout devant la caméra. Il est pas mal moins gêné en russe. Et je tiens ça d'une source certaine.
Cette équipe appartient à Andrei Markov, s'il le désire, s'il le veut. Car je suis convaincu que toute l'équipe le suivra s'il le souhaite. Il n'a pas un A pour rien.
Si Andrei ne veut pas avoir le fardeau du capitaine, je crois que c'est Scott Gomez qui est le meilleur candidat. Pourquoi? Simplement qu'en se basant sur ce que j'ai écrit plus tôt, un leader ça attire les gens, et Gomez a attiré Cammalleri et Gionta à Montréal.
Scott Gomez a porté le A avec les Rangers et les Devis , des équipes avec des gros joueurs, des têtes fortes. Il est donc facile de reconnaitre qu'il a eu du leadership auprès de ses anciennes équipes.
Je ne crois pas que Scott Gomez va avoir le C juste comme ça, mais ça ne prend pas 2 saisons pour savoir si un joueur mérite d'être capitaine. C'est facile de voir quand une personne a du leadership. Ça va se décider avant que le camp d'entraînement se termine.
Quand Sidney Crosby est arrivé avec les Penguins, le jeune a tout de suite eu le C. S'il était réservé, hautain, s'il ne donnait pas l'exemple, il n'aurait pas eu le C. Tout ça pour donner un exemple qu'un nouveau joueur qui arrive dans une équipe peut avoir le C rapidement.
En conclusion, pour moi, un leader ce n'est pas nécessairement le meilleur joueur dans une équipe, mais c'est une personne positive, qui va motiver les autres à faire du mieux qu'ils peuvent, c'est une personne qui va regrouper, rassembler, qui va attirer.
Et jusqu'à présent, on a quelques indices que Scott Gomez semble avoir quelques-unes de ces qualités.
Pour les assistants, définitivement que Markov va garder son A, mais Cammalleri a eu un A avec les Kings , il sera un bon candidat aussi. Sans oublier un certain Maxim Lapierre, qui a donné un très bon exemple la saison dernière.
(Source : Chfans)
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dimanche 16 août 2009
Si Elias débarque a Montréal...
Fait dans l'éventualité que Elias devient un CH.
Pour commencer voici ce qui reste sur la masse du CH il reste environ 1.6 milion et Elias en coûte 6 million alors pour obtenir Elias, Bob n'a pas le choix de sacrifier Hamrlik qui coute 5.5 et ont sait que NJ vont aussi demander un attaquant alors j'inclus Plekanec qui en coute 2.75 en plus de un choix de 2ieme ronde pour conclure la transaction. La j'entends plusieurs dire pourquoi Harmlik et Plekanec. En ce qui concerne Harmlik ont a pas le choix car Elias coûte 6 million alors ont donnera
surement pas un des nouveau venu ni Markov qui ont des salaires semblables et pour Plekanec vous aller dire ont a pu de joueur de centre de 2ieme trio attendez et continuer a lire vous allez tout comprendre.
Plekanec pourra très bien cadré dans le système de jeu de Lemaire car il est bon défensivement et un rapide patineur. Alors après la transaction pour Elias il va en rester 3.85 million sur la masse (1.6(masse avant transaction) + (8.25 (salaires de Plekanec et Harmkik) - 6 (salaire Elias)
Deuxième partie de mon plan, il reste maintenant 3.85 million comme indiquer plus haut. La ça nous prend un autre joueur de centre pour commencer voici se que je ferais, c'est pas un joueur de centre qui m'intéresse car j'ai Cammalleri qui peut jouer facilement au centre alors je fait la transaction suivante j'échange Sergei Kostitsyn(817,000) et Jaroslav Halak(775,000) au BlackHawks de Chicago(qui sont dans le trouble avec leur masse salariale) en retour de Patrick Sharp (3.9 million).
Voici se que sa donne en tant que masse. Bon avant la transaction il restait 3.85 million SK-74 et Halak ensemble sa fait 1.60 millions et Sharp en coute 3.9 alors (3.85+1.60-3.9) sa donne 1.55 million qui reste. Je donne un contrat de 600,000 a
D'Agostini il reste 950,000.
Voici se que mon équipe aura l'air pour commencer la saison
Attaquants
Gionta - Gomez - Elias
Sharp - Cammalleri - A. Kostitsyn
Moen - Lapierre - Latendresse
D'Agostini - Metropolit - Pacioretty
Les 4 trios parle par eux même et sont aussi tous interchangeable selon la performance des joueurs. Il a beaucoup de combinaisons possible. A. Kostitsyn peut être interchangeable sur soit la 3e ou 4e trio tout dépend de se que il va donner a l'équipe.
Remplaçants
Laraque - Quand y pas blesser peut jouer sur le 4ieme trio pour les parties ou sa va brasser
Stewart - voyage entre Montreal et Hamilton, il peut aussi être utilisé pour les parties où sa va brasser.
Chipchura - voyage entre Montreal et Hamilton
Défenseurs
Markov - Mara
Spacek - Gorges
Gill - Weber ou Subban (tout dépend de se qui se démarque plus au camp)
Markov et Mara quelle duo ont le sait que Markov est souvent un joueur marquer comme témoigne le coup surnois de Grabovski la saison passée alors avec un gars comme Mara avec lui des gars comme Grabovski qui essai de ramasser Markov vont avoir un géant sur leur dos alors les joueurs vont y penser deux fois avant de s'en prendre a Markov.
Spacek et Gorges un choix logique car Gorges fera un bon complément a Spacek.
Pourquoi je place Gill avec un jeune la raison est simple Gill a beaucoup d'expérience et sa peut juste être bénéfique au jeune. Oui vous aller dire y bien trop lent mais oublier pas que défensivement il est très solide alors sa va permettre a un jeune comme Subban ou Webber de s'exprimer un peu plus a l'attaque.
En conclusion pour la défensive sa nous donne 3 paires avec un défenseur offensive par paire un et bon défenseur défensive par paire
Remplacants
Subban
O'Byrne
Gardien
Price
Sanford
Alors sa fait un alignement de 20 joueurs et deux remplacants (un attaquant, un défenseur) il reste presque 500 000 (A cause du contrat de Curtis Sanford). Ont
commence la saison comme ca et il reste une petite marge de manœuvre.
Tout cela dépend si la rumeur de Elias se concrétise car sinon la donne change.
(Source : Chfans)
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Mon commentaire:
Je tenais a vous faire connaitre cette analyse fait par un membre du forum de discussion de Chfans. Je trouve que son idée en général est très bon et que les échanges proposer pourrait être très envisageable.
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