mardi 28 décembre 2010

Habs-Islanders devant 3 136 spectateurs...




À la télévision, les gradins avaient l'air vides hier au Nassau Coliseum pour le match entre le Canadien et les Islanders. Ce n'était pas une illusion d'optique... ils étaient bel et bien vides !

Dans les faits, les Islanders ont annoncé une foule de 3 136 spectateurs. Bien que l'équipe ait attiré moins de 10 000 partisans à huit occasions cette saison, cette fois, il y a peut-être une explication derrière cette maigre foule.

La région de New York a été frappée par une violente tempête de neige dans les dernières heures. Le match des Islanders a donc rapidement été relégué aux oubliettes par les partisans.

À un point tel que les Islanders, selon ce que rapporte le New York Newsday, auraient demandé à ce que le match soit remis à une autre date. La LNH aurait cependant refusé la demande sur-le-champ.

Un dirigeant municipal aurait même recommandé à Colin Campbell de reporter le match.

«Le plus important pour nous, c'est de s'assurer que les routes soient sécuritaires pour les citoyens. Nous leur avons demandé de rester à la maison sauf en cas d'urgence. Ce n'était pas prudent d'envoyer les gens sur la route à 7 heures. Campbell a dit comprendre la situation et vouloir poursuivre la discussion», a déclaré Rob Walker, du comté de Nassau.

La Ligue a refusé de commenter tandis que les Islanders se sont contentés de répondre avec retenue. «Les deux équipes étaient là, les officiels étaient là et c'est pourquoi nous avons joué», a lancé le directeur des communications de l'équipe Kimber Auerbach.

Les Islanders, comme le Canadien, sont arrivés à l'aréna avant que les conditions météorologiques ne dégénèrent à l'extérieur. Rappelons que le Tricolore avait dû s'envoler de Montréal tôt le matin avant de prendre l'autocar de l'aéroport à l'amphithéâtre.

Comble du hasard, les deux équipes s'étaient affrontées dans des conditions pratiquement similaires l'an dernier. Alors qu'il tombait près de deux pieds de neige à Long Island, Jaroslav Halak avait bloqué les 40 rondelles des Islanders pour l'emporter 3-0 devant 7 842 spectateurs.

Les Islanders ont déjà promis de rembourser les partisans qui n'ont pu se rendre au match.

Reste à savoir si le même genre de tempête ici, au Québec, aurait autant ralenti les ardeurs des partisans québécois...


Source : Ckac.com


Vidéo du jour :

Une petite dance de la part de Paul Stastny et Matt Duchene





lundi 27 décembre 2010

Lapierre: «Nous n'avons pas égalé leur intensité»

Maxim Lapierre reconnaît que le jeu du Canadien a manqué de conviction au domicile des Islanders. Photo d'archives Catherine Lefebvre


Si les joueurs du Canadien pensait avoir la vie facile en se pointant à Uniondale pour y affronter la pire formation du circuit après les Devils, ils se sont mis le doigt dans l'œil.

Même s'ils ont connu une séquence de 21 matchs atroces au cours de laquelle ils n'ont remporté qu'une seule victoire, les Islanders semblent avoir retrouvé leur aplomb au cours des 10 derniers jours.

En incluant le gain face aux Canadien, la troupe de Jack Capuano a maintenant connu la victoire dans quatre de ses cinq dernières sorties.

«Ce n'est pas parce qu'ils occupent le bas du classement que les Islanders ne sont pas une équipe travaillante. Ce soir, nous n'avons pas égalé leur intensité», a déclaré Maxim Lapierre à CKAC. Nous ne gagnerons pas de match en jouant de cette façon.

«Il y a beaucoup de parité dans cette ligue, a ajouté Mike Cammalleri. Lorsque nous jouons bien défensivement, nous obtenons de meilleures chances de marquer. En dépensant moins d'énergie dans notre territoire, nous sommes plus efficaces en zone ennemie.»

Pacioretty regrette son geste

Le pointage était de 2 à 0 et le match toujours à la portée du Tricolore lorsque Max Pacioretty, en début de troisième engagement, a littéralement étampé Mark Eaton dans la bande. Un geste qui a valu à l'Américain une punition majeure en plus d'une inconduite de partie. Colin Campbell, le préfet de la Ligue nationale, étudiera sans doute la séquence pour déterminer s'il y a lieu de suspendre le joueur du Canadien.

«J'ai commis une erreur, a reconnu Pacioretty, toujours sur les ondes de CKAC. Lorsque je suis arrivé près de lui, il était face à la rampe. Je croyais qu'il allait se retourner, mais ça n'a pas été le cas. J'aimerais bien revenir en arrière. C'est un geste qui a fait mal à l'équipe.»

Effectivement, les Islanders en ont profité pour «fermer les livres» en portant la marque à 4 à 0.

Mais le jeune homme peut dormir sur ses deux oreilles: le Canadien n'avait rien montré de bien convaincant au cours des deux périodes précédentes.

Source : Ruefrontenac,com


Voici les fait saillants du match Islanders - Canadien

dimanche 26 décembre 2010

Crosby trop fort ! :)

Video du jour :


Voici un beau petit jeu de notre ami Crosby ! :)



Nouvelle du Canadien :


Repartir du bon pied

MONTRÉAL - Après un court congé de Noël, le Canadien de Montréal poursuivra son plus long séjour de la saison à l'étranger en affrontant les Islanders à New York dimanche soir.

La troupe de Jacques Martin connaît présentement son premier passage à vide de la saison avec seulement deux victoires à ses sept derniers matchs.

Les joueurs tenteront de reprendre là où ils l'avaient laissé avant le congé, alors qu'ils avaient battu les Hurricanes de la Caroline 3-2 pour récolter leur première victoire de ce voyage de sept rencontres loin du Centre Bell.

Les Islanders ont pour leur part connu une séquence encore plus difficile, eux qui occupent l'avant-dernier rang de l'Est avec seulement 22 points à leur fiche (8-18-3-3). Du 23 octobre au 13 décembre, ils n'ont remporté qu'un seul de leurs 21 matchs, ce qui avait notamment mené au congédiement de l'entraîneur Scott Gordon.

Loin d'une victoire déjà acquise

Il ne faudra toutefois pas considérer les Islanders comme une proie facile, puisqu'ils ont recommencé à connaître un peu plus de succès au cours des derniers matchs qui ont précédé le congé des fêtes. Ils ont maintenant remporté deux matchs de suite et amassé sept points à leurs quatre dernières sorties.

«Évidemment, lorsque vous remportez des matchs de hockey, vous acquérez de la confiance et vous croyez en vous, avait noté l'entraîneur par intérim des Islanders Jack Capuano après le dernier match des siens. Même lors des deux ou trois dernières semaines, les joueurs ont travaillé fort, ils se sont bien entraînés, ils ont sacrifié leur corps, mais ils n'obtenaient pas les résultats escomptés. Nous avons marqué quelques buts dernièrement et dès que tu en marques trois ou quatre, tu te donnes une chance de marquer, particulièrement avec le gardien de but que nous avons (Dwayne Roloson).»

Toujours au 3e rang dans l'Est

Malgré les récentes difficultés, le Canadien (20-13-2-0) est toujours en tête de sa section et il est au troisième rang de l'Est. Il détient une avance de deux points sur les Bruins de Boston (18-11-1-3), deuxièmes dans la section nord-est, mais ces derniers ont disputé deux matchs de moins. Ils
renoueront avec l'action lundi contre les Panthers en Floride.

Le Tricolore devra donc se méfier de son prochain adversaire s'il désire poursuivre son voyage sur une bonne note et rester en bonne position au classement.

Après cet arrêt à New York, le Canadien continuera son périple en se rendant à Washington puis en Floride pour y affronter le Lightning et les Panthers. Comme le veut la tradition, le Tricolore devrait compter sur un grand nombre de partisans lors de ses deux matchs sous le soleil.

Source : Ckac.com

samedi 25 décembre 2010

vendredi 24 décembre 2010

Jeux spectaculaire ! :)

Voici une arret de Tim Thomas assez incroyable ! :)



Ici un beau but de notre compatriote Patrice Bergeron ! :)

jeudi 23 décembre 2010

Top 10 de jeux

Voici les 10 plus beaux jeux des équipes canadiennes de la LNH.

Un congé avant d'affronter les Hurricanes


Lorsque les choses ne tournent pas rond, il peut parfois être avantageux de prendre un pas de recul, histoire de se changer les idées et d'avoir une vue d'ensemble de la situation problématique.

C'est sans doute ce qu'a voulu faire Jacques Martin en annulant l"entraînement prévu mercredi matin, au lendemain d'une cinquième défaite en six rencontres.


En lieu et place, l'entraîneur du Canadien a convoqué une réunion d'équipe avant de quitter pour la Caroline où sa formation affrontera les Hurricanes, jeudi.

«On a beaucoup voyagé depuis samedi. Avec l'importance du match contre la Caroline, j'ai voulu donner un répit physique et mental aux joueurs. Ainsi, la fatigue ne pourra servir d'excuse», a expliqué Jacques Martin à La Presse à son arrivée à l'hôtel.

Jacques Martin soutient que son équipe avait besoin d'un peu de répit. Photo d'archives Pascal Ratthé


Foi de Mathieu Darche, ses coéquipiers et lui, qui ont disputé six matchs au cours des 11 derniers jours, ont apprécié ce congé

«Ce fut agréable. On avait une journée de voyage, alors ça nous a fait du bien de pouvoir dormir un peu plus longtemps ce matin», a déclaré l'attaquant du Canadien à CKAC.

Reste à voir s'ils seront en mesure de remercier leur entraîneur. Car, chanceux dans sa malchance, le Canadien occupe toujours le troisième rang dans l'Est. Une situation qui aurait été fort différente si les Bruins ne connaissaient pas eux aussi le même genre d'ennuis.

D'ailleurs, les hommes de Claude Julien auront une autre occasion de rejoindre (et devancer) le Canadien jeudi soir. Si tel était le cas, le Tricolore chuterait au 8e rang.

Un 32e départ pour Price

S'il n'a pas voulu indiquer si Andrei Kostitsyn, laissé de côté face aux Stars, réintégrerait l'alignement, Martin a à tout le moins confirmé la présence de Carey Price devant le filet.

Il s'agira d'un 32e départ cette saison pour l'homme masqué tricolore. C'est donc dire que Martin, qui avait indiqué que l'horaire des gardiens pour ce voyage serait tributaire de l'allure de chacune des rencontres, ne tient pas rigueur à son cerbère numéro un pour ce début de voyage catastrophique.

«Carey nous a donné du très bon hockey depuis le début de la saison. Il y est pour beaucoup dans nos victoires», a soutenu l'entraîneur.

Cette décision signifie également que Jacques Martin n'adhère pas à la théorie voulant que son gardien, le plus utilisé dans le circuit Bettman, puisse montrer des signes d'épuisement.

«Je ne sais pas s'il est fatigué, mais on joue tous les deux soirs. On s'attend à une grosse performance de sa part, jeudi», a ajouté l'entraîneur.

D'autant plus qu'il s'agit du 23 décembre, date maudite dans l'histoire du Canadien, qui n'a remporté qu'une seule victoire sur la route en 65 ans. Victoire de 5 à 1 l'an dernier… en Caroline.


Source : Ruefrontenac.com

samedi 11 décembre 2010

Le CH rappelle David Desharnais




Le Canadien a annoncé aujourd'hui que le joueur de centre David Desharnais a été rappelé des Bulldogs de Hamilton. Desharnais rejoindra les Canadiens aujourd'hui à Toronto.

Âgé de 24 ans, l'attaquant de 5'07'', 170 lb a participé à six matchs avec les Canadiens la saison dernière, dont son premier match en carrière, le 25 novembre à Pittsburgh. Il a inscrit une aide et obtenu deux tirs au but, tout en jouant en moyenne 8 minutes 27 secondes par match.

Desharnais est à égalité au premier rang des pointeurs des Bulldogs et à égalité au deuxième rang dans la AHL avec 30 points (7 buts, 23 aides) en 26 matchs cette saison. Un de ses buts a été marqué en avantage numérique et un autre en infériorité numérique. Il vient au premier rang dans la AHL pour les aides (23) et est à égalité en troisième position dans la ligue pour les aides en supériorité numérique (11). De plus, il mène les Bulldogs avec un différentiel de +11. Il a également obtenu 60 tirs au but et écopé de 16 minutes de pénalité.


Source : Ckac.com

vendredi 10 décembre 2010

Kovalev veut qu'on le laisse tranquille





OTTAWA - L'attaquant des Sénateurs d'Ottawa Alex Kovalev sent qu'on l'a désigné comme le bouc émissaire des récents déboires de l'équipe de la capitale nationale.

Le vétéran, qui connaît une saison difficile, a été muté au quatrième trio dans la défaite de 5-3 subie aux mains des Rangers de New York, jeudi. Les Sénateurs ont dégringolé au classement dans l'Est, avec une seule victoire à leurs six derniers matchs.

Vendredi, on lui a demandé si l'entraîneur-chef, Cory Clouston, lui faisait porter le chapeau pour les insuccès du club.

«Ça ressemble à ça, a-t-il dit. Je ne suis pas le seul à ne pas bien jouer. Alors il n'y a rien que je puisse faire. Il a décidé de faire de moi le bouc émissaire. Ça m'est arrivé tout au long de ma carrière, alors je vais l'accepter.»Avant le match de vendredi soir contre les Devils du New Jersey, Kovalev a amassé 14 points, dont sept buts, en 30 parties. Il a été la cible de nombreuses critiques des amateurs, qui l'accusent de ne pas en faire suffisamment pour mériter son salaire de 5 millions $ US par saison.

«J'aimerais bien que les gens me laissent tranquille et me laissent jouer comme je peux le faire», a-t-il ajouté sans élaborer.

L'ailier n'est pas le seul joueur des Sénateurs à éprouver des difficultés à marquer. Les Sénateurs (12-16-2) ont marqué seulement 24 buts à leurs 15 dernières rencontres.

Kovalev a récolté 1004 points (419-585) en 1258 matchs dans la LNH avec les Sénateurs, le Canadien de Montréal, les Rangers de New York et les Penguins de Pittsburgh, en plus d'ajouter 98 points, dont 44 buts, en 116 matchs en séries.

Source : Rds.ca

jeudi 9 décembre 2010

«On continue d'évaluer Weber» -Jacques Martin




La saison dernière, la question était : Price ou Halak ? Depuis une semaine, l'exercice quotidien auquel Jacques Martin doit se prêter est de savoir s'il ramènera P.K. Subban dans la formation ou s'il continuera de faire confiance à Yannick Weber.

Encore une fois, les journalistes sont demeurés sur leur faim quand l'entraîneur n'a pas voulu dévoiler sa formation pour le match de vendredi face aux Red Wings.

«Ce n'est pas que tu ne veux pas changer une formule gagnante, a d'abord précisé Martin. On évalue la performance de chacun et en l'absence de Markov, Weber a pu ressortir du lot. Ça nous permet de le voir à sa position de défenseur et on peut maintenant mieux identifier notre groupe de sept défenseurs.»

Pour les fans de Subban, notons que l'entraîneur a dit que son retour au jeu en fin de semaine était une "possibilité".

«Les Red Wings, un bon défi pour notre équipe» -Jacques Martin

Avec deux matchs en 24 heures, le moment était aussi bien choisi à savoir si Alex Alud verrait de l'action entre les poteaux. Encore là, l'entraîneur s'est montré plus philosophe que précis.

«Carey a bien joué et l'équipe devant lui aussi. La manière dont le calendrier a été étalé depuis le début de la saison a permis à Carey de disputer la majorité des matchs, mais Alex doit aussi jouer.»

Price devrait affronter les Wings, une des bonnes équipes de l'Association Ouest avec 37 points en 26 matchs.

«Les Red Wings demeurent une puissance dans la Ligue. On a qu'à regarder leur alignement avec les Datsyuk, Zetterberg, Lidstrom, Kronwall. C'est une équipe avec beaucoup de profondeur et de stabilité. Leurs meilleurs joueurs sont probablement aussi les plus travaillants. Ce sera un bon défi pour notre équipe», estime le patron du Canadien.

Markov, opération réussie

Le défenseur Andrei Markov a fait un pas de plus vers une autre longue période de réadaptation après avoir été opéré avec succès, jeudi.

«La chirurgie a été une réussite. Il revient à Montréal jeudi et pourra dès lors entreprendre son programme de remise en forme», a souligné Jacques Martin.

Source : CKAC.com

lundi 15 novembre 2010

Canadiens vs Caroline (13-11-10)



Voici un petit commentaire sur le match du canadien et quelque idée pour remplacer Markov.

jeudi 11 novembre 2010

Commentaire sur le match du Canadien vs Canucks



Vous pouvez entendre mon commentaire du match et ne vous gêner pas a donner votre commentaire.

mercredi 10 novembre 2010

Le CH s'est imposé avec un jeu collectif solide




On a beaucoup parlé des léthargies sur le plan individuel chez le Canadien au cours des derniers jours. Celles de Scott Gomez et Brian Gionta, entre autres. Personne n'y a mis fin, mardi, mais au diable tout cela, c'est par le jeu collectif que le Canadien a réussi à s'imposer face aux puissants Canucks de Vancouver.

«C'est une des victoires les plus satisfaisantes de la saison. On a été très forts dans plusieurs aspects du jeu», a commenté Jacques Martin.

«C'était un peu comme une partie d'échecs. C'est vrai que j'ai apporté beaucoup d'attention aux jumelages entre trios, a reconnu l'entraîneur du Canadien. Je voulais opposer celui de Tomas Plekanec à celui des Sedin, celui de Scott Gomez à celui de Ryan Kesler et celui de Jeff Halpern à l'unité de Manny Malhotra.

«J'avais le sentiment que l'unité de Plekanec réagirait bien face aux Sedin», a ajouté Martin, en faisant remarquer que le Canadien avait mieux fait que les Canucks, jusqu'ici cette saison, au chapitre des buts marqués à armes égales. «Il est aussi intéressant de noter qu'au sein de chacune des deux équipes, c'est le troisième trio qui a marqué le plus de buts à cinq contre cinq.»

Martin a par ailleurs tenu à donner du crédit au duo de vétérans défenseurs composés de Jaroslav Spacek et Roman Hamrlik, qui ont épaulé le trio de Plekanec dans sa couverture de l'unité réunissant les frères Henrik et Daniel Sedin, ainsi que l'attaquant québécois de Pincourt Alexandre Burrows.

«C'est plaisant de les voir élever leur niveau de jeu de cette façon - comme ils l'avaient fait en première moitié de la saison dernière», a noté Martin.

«On ne savait même pas qu'on allait les affronter, a fait savoir Hamrlik. Perry (Pearn, l'entraîneur adjoint) nous l'a annoncé au début du match. On était sur le banc et il nous a dit, 'Hé les gars, Hammer contre les Sedin'. Mais je n'étais pas surpris, je joue depuis assez longtemps dans cette ligue... Même si on espérait, (Spacek) et moi, se retrouver contre le deuxième trio!

«Ce n'est pas facile de jouer contre eux. Ils font constamment tournoyer la rondelle autour du filet. Mais tout le monde a fait du très bon travail», a par ailleurs souligné Hamrlik.

«Le Canadien ne nous a pas donné grand-chose, a dit Burrows de la couverture contre son trio. Leurs cinq joueurs, particulièrement les ailiers, revenaient profondément dans leur zone. On aurait peut-être eu intérêt à utiliser davantage nos défenseurs, mais on a quand même eu quelques occasions en fin de match. Sauf que Carey Price a alors fait la différence. On a peut-être trop fait dans la dentelle, on a manqué de finition.»

«Tout le monde a bataillé et c'est de cette façon qu'on doit jouer, a ajouté Hamrlik. Dernièrement on n'a pas été à notre meilleur, mais ce soir tout le monde a donné son maximum.»

Hamrlik a aussi encensé Carey Price. Le jeune gardien s'est illustré face à l'équipe de sa jeunesse, contre laquelle il s'était incliné 7-1 la saison dernière, à Vancouver.

«Il me restait un goût amer dans la bouche, a reconnu Price en parlant de cette dégelée. C'est une autre saison, mais je voulais vraiment la gagner celle-là.

«J'y ai surtout pensé (mardi) matin. Un peu (lundi) soir. C'était suffisant pour me préparer pour le match. Mais je l'avais quand même un peu en tête, je ne voulais pas que ça arrive encore.

«Mes gars m'ont aidé à bien voir la rondelle. Ils ont fait de l'excellent travail pour garder leurs joueurs en périphérie. Ils ont tout fait pour m'aider. Tout ce que j'ai échappé, ils s'en sont occupé», a affirmé Price.

«J'essayais de faire tout bien, de bien exécuter les éléments de base. Quand tu fais cela, il y a des soirs où ça te permet de connaître une soirée parfaite.»

Source : Yahoo.com(Sports)


Nouvelle LNH :

Premier chef, deuxième chef




La LNH souhaite dépoussiérer son concept de match des étoiles.

Le circuit votera sous peu pour une nouvelle formule du rendez-vous annuel, rapporte La Presse Canadienne, mardi. C'est ce qui a transpiré de la réunion des directeurs généraux, à Toronto.

L'idée, formulée par le vice-président hockey de la LNH, Brendan Shanahan, veut que deux capitaines soient appelés à former les équipes lors d'une émission télévisée en direct pour lancer la fin de semaine des étoiles. Le format de l'Association est contre l'Association ouest serait donc abandonné.

Les joueurs partants seraient encore déterminés par un scrutin auprès des partisans. La Ligue choisirait les 36 autres étoiles.

Les 48 joueurs sélectionnés éliraient par scrutin les deux capitaines. Ceux-ci choisiraient donc des joueurs de n'importe quelle association pour former leur équipe.

Les changements entreraient en vigueur dès cette année, pour le match prévu le 30 janvier, à Raleigh, en Caroline du Nord.

Appel refusé

La LNH a emprunté à la NFL l'idée d'un arbitre avec microphone, mais les choses s'arrêtent là pour l'instant.

La possibilité, pour un entraîneur-chef, d'interjeter appel sur la validité d'un but pendant un match a été rejetée par les directeurs généraux.

Elle avait été proposée par le DG des Panthers de la Floride, Dale Tallon, mais n'a reçu aucun soutien. « Nous en avons parlé, mais le dossier est mort », a commenté Tallon.

Tallon avait pourtant un excellent exemple à mettre sur la table : le match que les Maple Leafs de Toronto ont volé aux Panthers sur un jeu controversé, le 26 octobre. Colton Orr a inscrit le but vainqueur après être entré en contact avec le gardien Scott Clemmensen.

Même l'entraîneur-chef des Leafs, Ron Wilson, a reconnu la faute d'Orr, qui aurait dû recevoir une pénalité à son avis.

Après avoir rejeté la possibilité d'appel, les directeurs généraux sont passés à un dossier plus chaud à leurs yeux, celui du nouveau règlement sur les coups à la tête. Tous ont donné leur soutien au préfet de discipline Colin Campbell et se sont dits satisfaits de l'application du règlement.


Source : Yahoo.com (Sports)

dimanche 17 octobre 2010

On aurait cru revoir le CH du printemps




On aurait cru revoir le Canadien du printemps dernier par moments sur la glace du Centre Bell, samedi. C'est le sentiment que Mathieu Darche a eu, en tout cas.

«On a reçu un effort de tout le monde, comme c'était le cas en séries éliminatoires la saison dernière», a commenté Darche, qui a réintégré la formation à la place de Tom Pyatt, après avoir été laissé de côté pendant deux matchs.

«Les joueurs ont acheté le système de l'entraîneur, a-t-il enchaîné. On y a dévié pendant quelques minutes en deuxième période, en commettant des revirements, et les Sénateurs en ont profité pour prendre les devants 3-1. Par après, on s'est retroussé les manches et tout le monde a fait ce qu'il devait faire, de Michael Cammalleri à Hal Gill, en passant par Andrei Kostitsyn. C'est une belle victoire d'équipe. On a montré une grande force de caractère.»

Le Tricolore va profiter de deux journées de congé après avoir mis fin à une séquence de trois matchs en quatre jours, avec cinq points sur une possibilité de six en banque.

«Ce qui est intéressant, c'est qu'on n'a pas eu besoin que Carey vole le match à la fin.»

Pour Price effectivement, les rencontres à domicile se suivent et ne se ressemblent pas. Après avoir été bombardé de 48 lancers dans la défaite de 4-3 du CH contre le Lightning de Tampa Bay mercredi, il n'a fait face qu'à 19 lancers, samedi.

«Les gars ont bien joué devant. Quand c'est le cas, je vois peu de lancers.»

Appelé à élaborer, le jeune gardien a expliqué que ses coéquipiers avaient mieux protégé le centre de l'enclave.

«On a préconisé un style beaucoup plus serré en défense. Tout le monde était soucieux de surveiller les adversaires qui s'approchaient devant le but. On leur concédait peu d'espace. C'est plus facile pour moi dans ce temps-là.»

Le CH ne s'est pas laissé abattre après avoir vu les Sens se forger rapidement une avance de deux buts.

«Toute l'équipe est restée concentrée et nous nous sommes bien ressaisis, a commenté Price. Le match n'était quand même pas hors de portée. Heureusement, nous avons marqué tôt par après et ça nous a ramenés dans le coup.»

Le jeu de puissance a été blanchi pour la quatrième fois en cinq sorties cette saison.

Martin a simplement dit que c'est un aspect sur lequel on devra continuer de travailler, tout en faisant remarquer qu'on se tirait bien d'affaire en infériorité numérique.

«Nous gagnons des matchs grâce à notre performance à égalité numérique, et c'est très important. C'est une grosse différence par rapport à la saison dernière», a-t-il relevé.

Source : Yahoo.com (sports)


Nouvelle LNH :

Que faut-il faire de notre ami Sheldon ?






Elliot Friedman rapporte sur le site internet de CBC que les Oilers d'Edmonton se doivent de se départir du défenseur Sheldon Souray le plus rapidement. La relation entre Souray et Steve Tambellini est très mauvaise et pour prévenir un incident dans l'organisation, il serait mieux de tout simplement remettre Souray au ballotage, ce qui veut dire que les Oilers et l'équipe qui le réclamerait paieraient la moitié chacun. On aurait tendance à dire que les Rangers de New York et les Blue Jackets de Columbus seraient les équipes les plus intéressées aux services du défenseur âgé de 33 ans.

Note : Je ne suis pas sur que la proposition de Friedman est la meilleure, quoi que ce qu'il dit n'est pas mauvais. Vous souvenez-vous de l'incidence invoquant Chris Pronger en 2006? Les Oilers se sont pressé de s'en départir et malgré un retour raisonnable, ce n'est pas suffisant contre un des cinq meilleurs défenseurs depuis les années '90. Je ne suis pas en train de dire que Souray mérite la même chose que Pronger mais sa valeur ne sera jamais aussi basse que présentement. Cela veut dire que si l'organisation laisse encore du temps à Souray pour prouver qu'il est capable de jouer en santé et d'avoir une attitude acceptable, peut-être que les Oilers pourront recevoir quelque chose d'intéressant de la part d'une autre équipe. Quand même, un défenseur capable de marquer 20 buts ne vaut pas un deux de pique...

Source : toutsurlehockey.com

samedi 16 octobre 2010

Les défenseurs se chargent de l'attaque et le Canadien l'emporte




Jacques Martin a eu beau apporter quelques modifications à ses trios, ce sont tout de même les défenseurs du Canadien qui ont contribué offensivement. Alexandre Picard, avec son premier but dans l’uniforme du Canadien, et Josh Gorges, en supériorité numérique, ont permis au Tricolore de l’emporter 2 à 1.

À l’autre bout de la patinoire, Carey Price, beaucoup moins occupé que face au Lightning de Tampa Bay, n’a fait face qu’à 23 tirs.

La réplique des Sabres est venue de Derek Roy. Oublié dans l’enclave, le Franco-Ontarien n’a pas eu de difficulté à inscrire son cinquième filet de la saison.

En somme, ce fut un match somnifère. Éprouvant des difficultés de toutes sortes en défense, les deux formations se sont contentées de jouer au chat et à la souris, attendant de capitaliser sur l’erreur de l’adversaire.

La première période a été d’un ennui mortel. Il a fallu attendre à la sixième minute de jeu pour voir le premier tir au but du match. Tomas Plekanec, posté à l’embouchure du filet, a fait dévier la frappe de P.K. Subban.

Quelques instants plus tard, sur un jeu similaire alors que Paul Gaustad se trouvait au cachot, l’attaquant tchèque a raté une excellente chance de marquer. Cette fois, il s’est emparé du retour d’un tir de Michael Cammalleri. Malgré un filet béant, Plekanec n’a pu faire mieux que de toucher l’extérieur du but.

Au cours de la période, Price n’a eu à se signaler qu’à une occasion. Profitant d’un jeu avorté dans leur propre enclave, les Sabres se sont amenés en surnombre en territoire du Canadien. Price a fait preuve de vigilance pour stopper un tir rapproché de Tyler Ennis avant de résister à Drew Stafford qui se montrait insistant sur le retour.

Enfin un but en avantage numérique

La deuxième période a donné lieu à du jeu un peu plus soutenu. Le Canadien en a profité pour prendre les devants 2 à 0.

Dès la deuxième minute de l’engagement, Picard a joué de chance lorsque son tir, qui ressemblait plus à une remise dans l’enclave, a dévié sur le patin de Chris Butler. Il s’agissait bien sûr de son premier but dans l’uniforme du Canadien et de son premier depuis le 18 décembre 2009.

«C’est certain que ce n’était pas le plus beau, mais au nombre de buts que je marque au cours d’une saison, je les prend tous», a indiqué Picard.

«Pour moi, jouer pour le Canadien était déjà quelque chose de spécial en soi. De marquer un but dans cet uniforme, ça l’est encore plus», ajoutait-il.

P.K. Subban, qui se défait ici de Patrick Kaleta, a contribué à l'attaque avec trois tirs au but, le deuxième plus haut total de l'équipe, et une mention d'aide sur le but d'Alexandre Picard en deuxième période.
Photo Reuters

C’est au cours de cet engagement que le Canadien est finalement parvenu à inscrire son premier but de la saison avec l’avantage d’un homme. Gorges a décoché un tir frappé de la pointe qui s’est faufilé tout juste entre le poteau et le corps de Ryan Miller.

C’était le premier but du Tricolore en 12 occasions cette saison. Si on remonte au troisième match de la série face aux Flyers de Philadelphie, les hommes de Jacques Martin avaient été blanchis à leurs 18 tentatives précédentes en supériorité numérique.

«En bout de ligne, c’est ce qui a fait la différence dans le match. Notre exécution en supériorité numérique était meilleure. Nous étions en mouvement et nous avons su déplacer la rondelle efficacement», a vanté l’entraîneur en chef du Canadien.

L’avance des Montréalais, qui ont dirigé 12 tirs vers Miller au cours de l’engagement, aurait pu être plus importante encore si le gardien des Sabres n’avait pas fait preuve de beaucoup de vigilance aux dépens de Lars Eller.

S’emparant du retour d’un tir de Maxim Lapierre, le Danois a tenté de battre Miller de vitesse en étirant les bras pour pousser le disque derrière la jambière du gardien des Sabres, mais ce dernier a été suffisamment vif pour refermer la porte.

Trop peu, trop tard

Roy et Stafford en ont fait voir de toutes les couleurs aux arrières du Canadien à la troisième période. D’abord, Stafford a contourné le filet de Price en attirant avec lui Hal Gill. Gorges l’attendait de l’autre côté, ce qui a libéré Roy.

Seul dans l’enclave, le Franco-Ontarien a eu le temps de rater un premier tir et de déjouer Price dans la partie supérieure avant même qu’un adversaire s’approche de lui. Dans les minutes suivantes, le duo des Sabres est à nouveau venu frapper à la porte des buts. Cette fois, Price a eu le dernier mot.

«C’est ce qui a été notre problème (vendredi) soir. Nous n’avons travaillé en équipe que pendant les dix dernières minutes. Nous avons manqué trop de chances et nous n’avons pas suffisamment tiré au filet», a expliqué Roy.

L’homme masqué du Canadien s’est également illustré avec un peu plus de cinq minutes à écouler. Il a sorti la mitaine au dernier instant pour stopper la frappe de Mike Grier et ainsi préserver la mince avance des siens.

D’ailleurs, Price a été élu la première étoile de la rencontre.

Il y a 40 ans...

Le 15 octobre 1970, les Sabres de Buffalo disputaient leur premier match dans la Ligue nationale. Face au Canadien, Roger Crozier avait effectué 50 arrêts dans une défaite de 3 à 0. Avant la rencontre, les Sabres ont célébré ce 40e anniversaire en invitant Floyd Smith, le premier capitaine des Sabres, et Henri Richard à recréer la mise en jeu protocolaire de cette soirée historique.

Source : RueFrontenac.com




Nouvelle LNH :


Qui arrêtera les Leafs?

Les Maple Leafs de Toronto version 2010 sont aux antipodes de leur cuvée 2009.

Les hommes de Ron Wilson sont demeurés invaincus en quatre matchs cette saison en battant les Rangers 4-3 en prolongation, vendredi, à New York.

En comparaison, les Leafs avaient amorcé la saison 2009-2010 avec huit défaites de suite. Leur fiche de 4-0 constitue leur meilleur début de saison depuis leurs 10 victoires de suite en 1993-1994.

Phil Kessel a mis un terme au débat en prolongation avec son deuxième filet du match, et son troisième point de la soirée. Sur le jeu, Tyler Bozak a récolté sa deuxième aide du match.

Le surprenant Clarke MacArthur a poursuivi sur sa lancée. Pas reconnu pour ses habiletés offensives, l'attaquant de 25 ans a inscrit son cinquième but de la saison. Il est devenu du même coup le premier joueur de l'histoire des Leafs à marquer à chacun des quatre premiers matchs avec l'équipe.

Brian Boyle a profité de la générosité de Jean-Sébastien Giguère pour inscrire un doublé. L'attaquant a chaque fois battu le gardien des Leafs sur des tirs de loin. Giguère n'avait aucune idée où était la rondelle sur le deuxième but de Boyle, et était donc resté profondément dans son filet.

Les Rangers n'ont pas simplement perdu le match, ils ont perdu deux piliers de leur attaque, Marian Gaborik (épaule) et Chris Drury (doigt).

Après le match, l'entraîneur John Tortorella a indiqué que Drury s'absentera pour six semaines et Gaborik pour une période de deux à trois semaines.

Ces pertes s'ajoutent à celle de Vaclav Prospal, qui sera opéré mardi.

Avalanche 3 - Devils 2

Au New Jersey, les Devils ont subi un quatrième revers en cinq matchs, une défaite de 3-2 aux mains de l'Avalanche du Colorado.

Chris Stewart et T.J. Galiardi ont tous deux amassé un but et une passe dans la victoire. Stewart a d'ailleurs réussi le but gagnant.

Martin Brodeur a cédé 3 fois sur 22 tirs. En cinq matchs, le gardien des Devils présente un taux d'arrêt de ,887 cette saison, un chiffre de loin inférieur à ses statistiques habituelles.

Ilya Kovalchuk a obtenu un but et une passe dans une cause perdante. Le défenseur recrue Matt Taormina l'a imité, et en a profité pour enfiler son premier but dans la Ligue nationale.

À noter

  • À Pittsburgh, les Penguins ont remporté un premier match dans leur nouveau domicile, le CONSOL Energy Center. Alex Goligoski a marqué le but vainqueur en prolongation dans un gain de 3-2 contre les Islanders de New York.
Source : Yahoo.com (Sports)

vendredi 15 octobre 2010

Le Canadien s'ennuie-t-il de Bergeron?


Le Canadien va-t-il regretter la puissante frappe de Marc-André Bergeron sur le jeu de puissance cette saison, comme il a manqué celles des Sheldon Souray et Mark Streit dans un passé pas très lointain?

Le Tricolore a en tout cas fort mal amorcé la saison, ayant été blanchi en neuf attaques massives jusqu'à maintenant, au cours des trois premiers matchs.

La situation est loin d'être alarmante pour l'ailier Michael Cammalleri et l'entraîneur Jacques Martin.

"Nous l'avons notre boulet de canon à la pointe", a argué Cammalleri, en portant son regard vers P.K. Subban dans le vestiaire de l'équipe au Complexe sportif Bell.

"Andrei Markov possède aussi un très bon tir. Son retour au jeu prochainement va nous aider grandement. Jaroslav Spacek a une frappe toute autant puissante que celle de P.K., si on les mesurait au radar.

"Le jeu de puissance, ça ne se résume pas à des plombs de la ligue bleue. La prise de décisions est un des facteurs parmi tant d'autres", a-t-il ajouté.

Cammalleri estime que la statistique de zéro-en-neuf est trompeuse parce que le Canadien a annulé plusieurs attaques massives en cours, en écopant lui-même de pénalités. Pour cette raison, il trouve que la presse pèse sur le bouton de panique un peu tôt.

"J'aime notre jeu de puissance, il va finir par débloquer. Nous travaillons là-dessus. Nous savons ce que nous devons faire, comme diriger plus de lancers vers le filet. Nous allons y arriver", a-t-il résumé.

Martin a fait remarquer que l'avantage numérique n'est pas l'affaire d'un seul joueur. Dans le moment, l'exécution n'est pas au point et l'intensité fait défaut.

"Nous devons afficher plus d'intensité afin de gagner les luttes individuelles, de récupérer la rondelle libre et de foncer davantage vers le filet, a-t-il précisé en anglais. On reste trop à l'extérieur. Pour avoir du succès, vous devez faire circuler la rondelle rapidement, les joueurs doivent être en mouvement, tout en assurant une présence devant le filet et ne pas craindre d'occuper des espaces restreints."

Bergeron s'entraîne

Pendant ce temps, Bergeron poursuit sa période de récupération à Trois-Rivières, dans l'attente de recevoir une offre contractuelle.

Ayant subi la même opération à un genou qu'Andrei Markov, l'été dernier, Bergeron devrait être déclaré apte à reprendre le collier un mois après le retour de Markov.

"Il y a environ un écart d'un mois entre la réhabilitation des deux", souligne le conseiller de Bergeron, Paul Corbeil, en entrevue à La Presse Canadienne.

"Si tout continue de bien aller, Marc-André devrait obtenir le feu vert pour jouer vers le 20 novembre, précise-t-il. Il va revoir l'orthopédiste du Canadien qui l'a opéré, le docteur Paul Martineau, la semaine prochaine, et on devrait avoir une idée plus précise."

Comme Markov, Bergeron devance l'échéancier établi. Actuellement, il patine en solitaire depuis quelques semaines déjà.

Corbeil s'est dit confiant que le téléphone va recommencer à sonner au début de novembre. Dans le moment, c'est le calme plat mais c'était prévisible en début de saison.

"Toutes les équipes sont complètes et chacune d'entre elles pensent avoir ce qu'il faut pour connaître du succès. Le retour envisagé de Marc-André va coïncider avec la remise du premier bulletin de la saison", image-t-il.

L'agent québécois estime que son client va se dénicher du travail dans la LNH, après avoir rendu de précieux services au Canadien, la saison dernière, en récoltant 34 points en 60 matchs.

"Il aurait atteint le plateau des 20 buts s'il avait disputé les 82 matchs. Les défenseurs dans le créneau de Marc-André ne courent pas les rues."

Source : Rds.ca



Nouvelle LNH :


Retour émouvant pour Simon Gagné à Philadelphie



Steven Stamkos, Dominic Moore et Pavel Kubina ont touché la cible dans la victoire de 3-2 du Lightning de Tampa Bay face aux Flyers de Philadelphie, jeudi, lors d'un match teinté d'émotion puisque Simon Gagné disputait une première rencontre face à son ancienne équipe.

Gagné, véritable héros pour les Flyers lors des dernières séries éliminatoires, a disputé les 10 premières saisons de sa carrière dans l'uniforme des Flyers avant d'être échangé au Lightning cet été pour faire de la place sous le plafond salarial.

Nikolay Zherdev et Daniel Brière ont assuré la réplique pour les Flyers.

Les amateurs ont encouragé Gagné pendant la première minute de jeu, lorsqu'il a sauté sur la glace pour sa première présence du match.

Le Québécois a reçu une ovation monstre avec 13:40 à faire en première période, alors que les Flyers ont projeté des images de ses meilleures séquences au sein de l'organisation sur le tableau indicateur, pendant un arrêt de jeu. Gagné n'a pas manqué de saluer la foule en guise de reconnaissance.

Stamkos a battu le gardien Brian Boucher du côté du bâton alors qu'à peine cinq minutes étaient écoulées dans la rencontre, après qu'il eut accepté une passe de Steve Downie.

Zherdev, un des joueurs qui s'est joint aux Flyers grâce à l'argent épargné par le départ de Gagné, a créé l'égalité un peu plus de deux minutes plus tard. James van Riemsdyk a récolté une aide sur la séquence.

Boucher, qui en était à son deuxième départ de la saison avec les Flyers, a effectué 21 arrêts. Dan Ellis a repoussé 24 lancers et récolté la victoire pour le Lightning.

Source : Ckac.com

jeudi 14 octobre 2010

CH : Guy Boucher: «Je ne suis pas satisfait»



L'esprit de compétition de Guy Boucher, c'est bien connu, n'a pas d'égal. C'est donc sans surprise que le pilote recrue du Lightning de Tampa Bay avait des sentiments partagés à la suite de la victoire des siens. Et ce, même si elle est survenue devant plusieurs parents et amis.


«Quand le résultat du match ne représente pas 60 minutes de travail, je ne suis pas satisfait», a-t-il lancé d'entrée de jeu.


Boucher, perfectionniste, a reproché à ses joueurs leur manque de combativité au cours des 20 premières minutes de jeu. Une période au cours de laquelle le Lightning a accordé 13 des 27 lancers du Canadien.

«Nous nous attendions à ce que le Canadien sorte fort. Malgré cela, on les a regardés jouer. Notre travail en zone défensive était mauvais. Nous étions hésitants et nous manquions de vitesse en sortie de zone», a-t-il énuméré.

En retard 2-0 au premier entracte, les hommes de Boucher se sont ressaisis. Mitraillant le filet de Carey Price, ils sont finalement parvenus à quitter le Centre Bell avec deux points de plus au classement.

«Au moins, en attaque, nous avons réussi à respecter notre plan de match. Mais Price a connu tout un match», a ajouté Boucher.

Simon Gagné a changé d'uniforme, mais il est toujours aussi difficile à freiner. Josh Gorges s'est chargé de l'empêcher de nuire à Carey Price sur ce jeu.
Photo Pascal Ratthé

«Nous sommes une équipe offensive. Ce que l'on veut, c'est de tirer souvent. On a réussi à bien adapter notre jeu en deuxième et troisième périodes, ce qui a fait que nous avons terminé la soirée avec une quarantaine de lancers (47)», a souligné de son côté Simon Gagné.

Malone dans la circulation

De ce nombre, huit sont provenus du bâton de Teddy Purcell et huit autres de celui de Steven Stamkos. Mais c'est son compagnon de trio, Martin Saint-Louis, qui a probablement obtenu les meilleures chances de marquer.

Martin Saint-Louis a durement mis à l'épreuve Carey Price avant de venir à bout de lui.
Photo Pascal Ratthé

À trois reprises, le Lavallois a frappé à la porte des buts, mais chaque fois Price a résisté de peine et de misère à l'assaut. La quatrième fois fut la bonne. Posté tout près de l'enclave, Saint-Louis a récupéré une rondelle perdue avant de la loger dans la partie supérieure d'un filet partiellement désert. Un but qui créait l'égalité 2 à 2.

«Quand les chances se présentent, il ne faut pas les rater… surtout à 2-1 lorsque ça permet à ton équipe de revenir», a-t-il mentionné.

Les réjouissances ont cependant été de courte durée puisque Andrei Kostitsyn redonnait les devants au Tricolore 31 secondes plus tard.

C'était avant que Stamkos ne crée l'égalité en fin de troisième période et que Ryan Malone ne donne la victoire au Lightning en prolongation.

«Même si ce ne sont pas les plus beaux buts, c'est mon style de but, a indiqué le héros de la rencontre à propos du fait qu'il a sauté sur une rondelle libre dans l'enclave. J'essaie toujours de me mettre le nez dans la circulation. C'est la meilleure façon de récupérer les retours.»

«J'adore ce joueur, a lancé Boucher. Il joue de l'excellent hockey depuis le premier match préparatoire. C'est un gars qui n'a pas peur de payer le prix, qui nous rend de grands services en infériorité numérique et qui est toujours à son meilleur dans les moments importants.»

Source : RueFrontenac.com



Nouvelle LNH :


Les Stars pourront-ils garder Brad Richards?

Photo Amber Bracken, CP

La question est soulevée dans le Dallas Morning News d’hier.

Le centre des Stars vient d’égaler sa meilleure production en carrière avec 91 points mais il deviendra joueur autonome compensation, commandera un salaire important et surtout, on ne connaît toujours pas l’identité du nouveau propriétaire.

Si les Stars n’ont pas trouvé un nouveau propriétaire d’ici la date limite des échanges et ainsi ne peuvent se permettre de lui offrir un contrat à long terme, ils doivent songer à l’échanger“, écrit le columnist Mike Heika.

Sauf que Richards est devenu le premier centre de l’équipe, il fait produire les deux ailiers les plus prometteurs du club, James Neal et Loui Eriksson, tandis que le deuxième centre du club, Mike Ribeiro, connaît actuellement des démêlées avec la justice.

La perte de Brad Richards, qui a obtenu quatre points à ses deux premiers matchs, serait énorme pour Dallas mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs…

Source : Blogue(MathiasBrunet)

mercredi 13 octobre 2010

CH : Les montagnes russes




La passion entraîne souvent la folie. Carey Price vit cette réalité depuis ses débuts à Montréal en 2007.

En quelques mois, le statut de Price peut changer de sauveur à mal-aimé pour ensuite redevenir le sauveur. Trop souvent, les partisans et les médias manquent de recul dans leurs critiques.

À la veille de l'ouverture locale au Centre Bell, Price répondait patiemment aux questions des médias après un entraînement d'une heure, mardi. Assis en face de lui dans le vestiaire, Roman Hamrlik, qui reviendra au jeu mercredi, regardait attentivement la scène en détachant ses patins.

« C'est toujours des montagnes russes dans un marché comme Montréal. Ce n'est pas toujours facile, je me suis déjà fait critiquer sévèrement dans les médias, mais jamais comme Carey. Tu dois vivre avec les critiques, ça fait partie du travail et d'une grande ville de hockey, comme Montréal. Mais c'est encore pire pour un gardien. »

Même s'il a perdu un de ses meilleurs amis avec le départ de Jaroslav Halak pour St. Louis, Hamrlik parlait avec une belle franchise de Price.

« Il y a deux ans, Price a prouvé qu'il a l'étoffe d'un bon gardien numéro un. L'an dernier, il a connu une saison plus difficile. C'était une année décevante pour lui. Un seul gardien pouvait jouer et c'était Jaro. Je le regarde jouer de la passerelle de presse depuis le début de la saison et je remarque qu'il joue avec une très belle confiance. Il a connu tout un match à Pittsburgh. »

Deux matchs ne font pas une saison, mais Price a rassuré bien des partisans avec ses sorties à Toronto et Pittsburgh.

« Oui, je suis soulagé, a admis Price. J'avais confiance en mes moyens depuis le début du camp, mais je voyais ça comme un processus d'apprentissage. On ne peut pas jouer au même rythme pour 82 matchs, c'est tout simplement impossible. »

En deux matchs, le gardien de la Colombie-Britannique présente un dossier de 1-1 avec une moyenne de 2,52 et un pourcentage d'arrêts de ,952.

L'exemple de Malakhov

Jeff Halpern et Lars Eller

Photo: La Presse Canadienne /Graham Hughes

Jeff Halpern et Lars Eller

Jeff Halpern, un autre vétéran de la LNH, s'est remémoré un vieux souvenir à son premier match préparatoire au Centre Bell.

« Honnêtement, j'étais un peu sous le choc quand j'ai entendu les partisans huer Carey après un mauvais but à un match préparatoire, a dit Halpern. J'ai compris que je ne jouais plus à Dallas ou Los Angeles. »

« Cette histoire m'a aussi fait penser à Vladimir Malakhov. À une de nos visites avec les Capitals à Montréal, Malakhov se faisait huer à tout rompre. Au départ, je n'avais aucune idée de la raison du mécontentement des partisans. Mais après le match, j'avais obtenu ma réponse et on m'avait expliqué qu'il avait fait du ski alpin malgré une blessure à un genou. »

Dans le cas de Malakhov, les foudres des fidèles s'expliquaient assez facilement...



Source : Radio-Canada.ca (Sports)


Nouvelle LNH :


Des critiques à l’endroit de Lou Lamoriello

Dur début de saison pour le DG des Devils du New Jersey.

Le contrat qu’il a accordé à Ilya Kovalchuk a été invalidé par la LNH qui l’a pénalisé en lui imposant une amende de trois millions et en lui soustrayant des choix de première et troisième ronde.

Lamoriello n’a pas réussi à larguer des joueurs surpayés comme Brian Rolston, Dainius Zubrus ou Bryce Salvador, de sorte qu’il est coincé à la gorge par le plafond.

À preuve, les Devils ont été contraint d’utiliser seulement 15 joueurs d’avant au lieu de 18 hier parce qu’il aurait défoncé le plafond s’il avait rappelé des joueurs pour remplacer les joueurs qui étaient sur la touche, blessés ou suspendus. Que serait-il arrivé s’il y avait eu des blessés au cours de la rencontre?

Les Devils n’ont gagné aucun de leurs trois premiers matchs
, marqué six buts contre quatorze accordés. Et la situation d’hier risque de se reproduire.

Lamoriello avait réussi à se sortir de mauvais draps il y a quelques années en se débarrassant de Vladimir Malakhov, qui traînait un lourd contrat, en cédant un choix de première ronde aux Sharks de San Jose pour qu’ils acceptent le défenseur russe et son salaire. On se demande aujourd’hui s’il pourra répéter “l’exploit”.


Source : MathiasBrunet

mardi 12 octobre 2010

CH : « Nous haïssons le Canadien » - Letang




Un esprit de vengeance existe dans le vestiaire des Penguins présentement. Après avoir perdu leur match d'ouverture, les Penguins préparent leur revanche face à une équipe qui les a éliminés le printemps dernier.

Et le match de samedi ne sera pas comme les autres puisque maintenant la haine fait partie de la rivalité entre les deux équipes.

« Les gars l'ont encore sur le cœur », avoue Kristopher Letang. « Le Canadien est devenu une équipe que nous haïssons autant que les Capitals et les Flyers. »

« C'est l'équipe qui nous a battue en séries. Ils ont gagné le dernier match au Mellon Arena. C’est certain que nous ferons tout pour gagner contre le Canadien ici samedi », raconte pour sa part Pascal Dupuis.

« Leurs joueurs francophones vous parleront d'une rivalité », soutient Hal Gill. Il y a eu une série de sept matchs qui a créé une rivalité ce qui est agréable »

Jacques Martin soutient que les Penguins font encore partie de l'élite dans la ligue Nationale et il n'est pas mécontent de retrouver Mike Cammalleri qui revient de sa suspension.

« Je ne peux plus attendre. C’est une nouvelle saison pour nous et la victoire sera nécessaire », a fait savoir le principal intéressé.

Avec le retour de Cammalleri, c'est Mathieu Darche qui devra céder sa place. En attendant, Jacques Martin a révélé qu'il souhaite un retour de Roman Hamrlik pour le match d'ouverture mercredi face au Lightning de Tampa Bay. Toutefois, il faudra encore attendre pour Andrei Markov.

Source : Rds.ca


Nouvelle LNH :


Mark Messier mènera le Canada à la Coupe Spengler


La prochaine mission de Mark Messier sur la scène internationale sera derrière le banc de l'équipe canadienne.

Une source a déclaré, lundi, que Messier deviendra l'entraîneur-chef d'Équipe Canada à la coupe Deutschland et à la coupe Spengler. L'annonce officielle est attendue mardi.

Messier était le directeur général de la formation canadienne au championnat du monde de hockey en mai dernier, Une tâche difficile lors d'une année olympique. Il avait réuni une équipe jeune qui a connu des difficultés et qui a finalement pris le septième rang. Il s'agissait du pire résultat du Canada à ce championnat depuis 1992, alors qu'il avait terminé huitième.

Premier défi comme entraîneur

Sa prochaine tâche avec l'équipe nationale sera son premier défi important en tant qu'entraîneur. À la coupe Deutschland, qui se déroulera le mois prochain à Munich, l'équipe sera constituée de joueurs canadiens évoluant en Allemagne.

La coupe Spengler, disputée pendant les Fêtes à Davos, en Suisse, met en vedette une équipe canadienne constituée de joueurs évoluant en Europe et quelques joueurs prêtés par des clubs de la
Ligue américaine.

La dernière fois que le Canada a remporté la coupe Spengler, c'était en 2007. L'an dernier, Craig MacTavish était l'entraîneur-chef et le Canada n'a pas atteint la finale après avoir maintenu une fiche de 2-2 lors du tournoi à la ronde.



Source : Ckac.com

lundi 11 octobre 2010

CH : À ne pas inviter au même party




Pour certaines rivalités, il faut des années, voire des décennies à créer l’étincelle. Le dernier printemps a changé bien des choses entre les Canadiens et les Penguins.

Il y a à peine un an, les deux formations de la Conférence de l’Est n’étaient rien de plus que deux adversaires dans la LNH. Deux des 30 équipes du circuit. Ce n’est plus le cas. Il serait étonnant que les deux belligérants s’envoient des invitations pour célébrer Noël ensemble.

L’élimination des Penguins par la troupe de Jacques Martin en sept rencontres en mai dernier a véritablement laissé un goût plus qu’amer dans la bouche des hommes de Dan Bylsma. À leur première rencontre depuis la poignée de main au centre de la glace du Mellon Arena le 12 mai, poignée de main signifiant la fin du règne de Sidney Crosby et Cie comme champions de la coupe Stanley, une confrontation Montréal-Pittsburgh ne sera plus jamais la même.

"C'est le résultat d'affronter une équipe en séries", a expliqué Jacques Martin. "C'est de cette façon que l'animosité se crée entre deux équipes. Et c'est ce qu'on a vu ce soir." 

La rivalité est maintenant plus vive que jamais. Les deux équipes ne se font pas faites de quartier tout au long du match qui a été ponctué de 74 mises en échec et une bagarre. Lorsque les joueurs des Penguins n’étaient pas occupés à pourchasser P.K. Subban, ils tentaient de varloper Maxim Lapierre. La foule était également de la partie.

"Je suis assez habitué de me faire huer, ça m'arrivait souvent dans le junior" a admis Subban qui a été la cible favorite des partisans des Penguins samedi soir.

"Ce n'est pas que je l'entends pas, mais je me concentre sur ce que j'ai à faire. Les partisans sont très passionnés ici et ce fut d'être agréable de jouer dans cet édifice."

Si Subban ne fait que commencer à irriter les partisans des équipes adverses, Maxim Lapierre devrait obtenir son doctorat en la matière sous peu.

"Il y a des gars dans la Ligue qui savent presser les bons boutons pour faire sortir leurs adversaires de leur gond. J'ai joué contre Maxim et je le haïssais ", a admis Scott Gomez, l'auteur du but vainqueur. "Lorsque Maxy joue de cette façon, nous sommes une équipe différente. Chaque équipe a un joueur comme ça, le nôtre est simplement un peu meilleur à faire ce boulot.

Si sa chambre était tapissée bleu-blanc-rouge durant sa jeunesse, Sidney Crosby est loin d'aimer affronter les Canadiens ces jours-ci, au grand plaisir des Montréalais.

"Il y avait beaucoup de mots qui s'échangeaient de part et d'autre", a expliqué Michael Cammalleri, l'auteur de deux des trois buts des siens. "Il y avait beaucoup de bonnes batailles. C'est le fun pour les joueurs. Ça force les joueurs à augmenter leur niveau de jeu et ça ajoute au suspens de la rencontre. S'il aimait jouer contre nous, il y aurait quelque chose qui clocherait de notre côté."

Si pour une raison ou une autre la date du 12 janvier n’était pas encore encerclée sur votre calendrier, le prochain rendez-vous Canadiens-Penguins au Centre Bell devrait maintenant amplement suffire pour libérer votre agenda.


Source : canadiens.com


Nouvelle LNH :


LNH - Blues : Halak, le sauveur

Jaroslav Halak avait rendez-vous pour la première fois avec les 19 000 spectateurs du Scottrade Center de St. Louis, samedi.

Dernier joueur à être présenté à la foule, il a été accueilli chaleureusement avant le match contre les Flyers de Philadelphie.

« C'est bien de remporter le match inaugural à domicile. Les partisans m'ont vraiment surpris. L'ambiance était excellente à la fin », a commenté Halak.

Les partisans des Blues ont toutefois dû attendre à la 10e minute de jeu avant de voir le gardien slovaque faire ses premiers arrêts. Halak a été parfait jusqu'à ce que Daniel Brière le déjoue en début de troisième période.

Halak, choisi première étoile de la rencontre, n'a accordé aucun autre but par la suite. Les Blues l'ont emporté 2-1 en prolongation.

Ville de hockey?

À St. Louis, le baseball et le football retiennent l'attention des amateurs et des médias. Bien qu'il ne soit pas aussi populaire qu'à Montréal, le hockey occupe une place enviable quand on compare St. Louis à d'autres villes de la LNH.

Devant le Scottrade Center, ils étaient nombreux avant le match à porter fièrement le chandail numéro 41.

« Je m'attends à ce qu'il soit extraordinaire et, avec un peu de chance, qu'il bloque tous les tirs! », a lancé un partisan en liesse à Radio-Canada Sports.

« Merci de nous l'avoir envoyé, a ajouté un autre partisan. Nous sommes tellement fiers d'avoir finalement un gardien qui est ici pour de bon. Je suis sûr qu'il va vous manquer beaucoup! »

À la boutique de souvenirs, les chandails d'Halak arrivent au sommet du palmarès des ventes.

Avant même le début de la saison, il a fallu passer une nouvelle commande pour s'assurer d'avoir suffisamment de maillots pour le match inaugural.

Les partisans des Blues croient qu'avec l'acquisition d'Halak, l'équipe peut aspirer à la Coupe Stanley.


Source : Yahoo.com(sports)

dimanche 10 octobre 2010

CH : « Nous allions laisser nos tripes sur la glace » -Cammalleri





« Nous avons joué une assez bonne rencontre pour gagner et nous apportons les deux points dans nos bagages. C'est tout ce qui compte », a dit Michael Cammalleri, la première étoile du match et auteur de deux buts à son premier match de la saison.

Écoutez les échos de vestiaire du Canadien après la victoire face aux Penguins.

Le numéro 13 du Canadien a complété une superbe manoeuvre de Tomas Plekanec au premier tiers avant de faire dévier un tir de Gorges pour créer l'égalité tard en troisième.

« Tomas a été génial sur mon premier but, a admis Cammalleri. Il savait qu'il allait être frappé après avoir transporté le disque si longtemps mais il a attendu au dernier moment pour me le refiler. Je n'ai eu qu'à pousser la rondelle dans le filet. »

En fin de match, il a senti l'urgence et le mot s'est passé sur le banc de l'équipe qu'il fallait foncer tête première une dernière fois.

« Nous tirions de l'arrière par un but avec six minutes à jouer, nous allions laisser nos tripes sur la glace à chacune de nos présences. Je vais prendre tous les buts, j'aime jouer contre les meilleurs joueurs et les meilleures équipes. Les Penguins me forcent à offrir mes meilleures prestations », a conclu celui qui a hâte de renouer avec les partisans du Canadien, mercredi soir prochain contre Tampa.

« Le Centre Bell va exploser mercredi » - Scott Gomez

« La première victoire est toujours la plus difficile à obtenir et sur la route c'est encore plus dur, a lancé Scott Gomez, auteur du but victorieux. C'est bon de revenir devant nos fans avec une victoire. Le Centre Bell va encore exploser, mercredi », croit-il.

De bons mots ont aussi adressés à Carey Price. « Tout comme à Toronto, c'est Carey qui nous a tenu dans le match. Il nous a permis d'être à un but d'écart et c'est de cette façon que tu parviens à inscrire des victoires », a avancé Gomez.

« Carey Price a fait la différence » - Jacques Martin


« On a joué une bonne première période mais on a perdu le momentum en deuxième et les Penguins ont eu le dessus jusqu'à tard en troisième », a d'abord analysé Jacques Martin.

L'impact de Michael Cammalleri ne fait pas de doute pour l'entraîneur du Canadien mais il donne la plus grande part du crédit de cette victoire à son gardien.

« Cammy nous a donné une grosse performance. Il fait la différence sur un trio avec Plekanec et Kostitsyn. On a vu ces deux joueurs avoir des problèmes à Toronto mais avec Cammalleri, ce trio a été dominant. Carey Price a été la différence dans le match. Après une bonne première période, les deuxième et troisième périodes lui appartiennent. Il a fait les arrêts-clés aux moments opportuns », a-t-il conclu.

Source : Ckac.com




Nouvelle LNH :

Halak prend sa revanche sur les Flyers



Carlo Colaiacovo a marqué à 1:47 de la prolongation pour permettre aux Blues de St. Louis de l'emporter 2-1 contre les Flyers de Philadelphie, samedi.

Colaiacovo a sauté sur un retour de lancer du revers d'Alexander Steen et effectué un tir frappé qui a battu le gardien Brian Boucher au-dessus de l'épaule gauche.

Brad Boyes a inscrit l'autre filet des Blues. Steen a récolté deux mentions d'aide et Jaroslav Halak a effectué 29 arrêts à l'occasion de son premier match de saison régulière avec sa nouvelle équipe.

Daniel Brière a marqué le seul but des Flyers - son deuxième en autant de matchs - qui ont amorcé leur saison avec une victoire face aux Penguins à Pittsburgh. Boucher a réalisé 23 arrêts dans la défaite.

Les Blues ont pris les devants en avantage numérique à 15:48 grâce à Boyes, lors d'une première période marquée par de nombreuses pénalités écopées par les deux équipes. Les deux formations ont bénéficié de deux doubles avantages numériques pendant la période, mais seuls les Blues en ont profité alors que Boyes a fait dévier un tir sur réception du défenseur Erik Johnson.


Halak a permis aux siens de préserver leur avance avec quelques arrêts spectaculaires en début de premier vingt. Halak a frustré Mike Richards sur un tir à bout portant en deuxième période, durant laquelle les Blues ont dominé les Flyers 11-6 au chapitre des lancers.

Brière a finalement permis aux Flyers de s'inscrire au pointage, profitant d'un retour de lancer de Matt Carle à 2:15 de la troisième période. Brière a bien failli donner la victoire aux siens alors qu'il restait 3:31 à faire en prolongation, mais son tir de l'enclave a touché la barre horizontale.

source : Rds.ca

samedi 9 octobre 2010

CH : Un beau casse-tête




Pour l’équipe derrière l’équipe, la logistique d’une retraite fermée peut représenter tout un défi. Le cerveau de l’opération, c’est Pierre Gervais, le gérant de l’équipement pour les Canadiens de Montréal.

Il faut être certain que personne ne manque de rien. Des gants aux bâtons, en passant par les roulettes de ruban, c’est à lui de voir à ce que les joueurs se sentent ici comme à la maison.

«C’est très différent de ce que l’on vit habituellement. Surtout qu’on jouait un match à Québec avant de venir ici et puis on part directement d’ici pour aller à Toronto, puis à Pittsburgh. Tout d’abord, ça prenait deux jeux de chandails, puisqu’on jouait en rouge à Québec et en blanc à Toronto et Pittsburgh », a laissé savoir Pierre Gervais d’entrée de jeu.

« Il faut faire la location des serviettes, il y a un service local qui s’occupe de tout le lavage, des chandails, des bas, des sous-vêtements. Ce qui est fourni normalement dans les vestiaires de la LNH, comme les produits pour la douche, l’eau, les breuvages, il a fallu tout amener », a laissé savoir celui qui a dû tout débarquer du camion avec son équipe dans la nuit de samedi à dimanche, avec la complicité de certaines personnes de Clermont.

«Notre camion était plein à craquer. Les gens de l’aréna font tout pour nous satisfaire. Nous avons deux vestiaires réservés pour les joueurs, en permanence. J’ai traîné ma machine à aiguiser comme à l’habitude, en plus des machines pour sécher les gants, ce qui est normalement fourni dans les arénas de la LNH. »

En plus de tout cet équipement, il doit également faire la gestion de l’outil principal du hockeyeur, son bâton.

« En terme de bâton, j’ai demandé aux gars de me donner huit bâtons chacun avant de partir, pour être certain qu’ils allaient être corrects pour le match de Québec et pour ici à Clermont », explique celui amorce son 23e automne dans l’organisation des Canadiens. « Avant de repartir pour Toronto, je vais faire une sélection dans ce qui reste et on va envoyer le restant à Montréal, pour ne pas trop en traîner. On aime toujours en avoir plus que moins.»

Concernant les lieux à proprement dit, Pierre Gervais n’en trouve rien à redire, ayant été bien reçu par les gens de la place.

«Tout le monde est très sympathique. C’est certain que les chambres sont plus petites, mais ça fait très différent. Disons que ça nous fait apprécier nos grandes installations comme on a à Brossard, au Centre Bell et sur la route », a conclu le professionnel de l’équipement.

Source : Canadiens.com


Nouvelle LNH :


« J'en dois une aux Canadiens » -Marc-André Fleury


S'il y a un joueur des Penguins qui a ruminé l'élimination aux mains du Canadien cet été, c'est bien le gardien québécois Marc-André Fleury.

Écoutez l'entrevue de Yannick Lévesque en compagnie vendredi soir de Marc-André Fleury...

« J'étais déçu, je voulais bien faire, je voulais qu'on gagne, a commenté le gardien Marc-André Fleury. J'en dois une à Cammalleri et aux autres à qui j'ai eu affaire. Tu sais, quand t'es celui qui voit la rondelle entrer dans le but pour l'élimination, c'est difficile. »

Ordinaire lors du 7e match

Fleury avait été très ordinaire et envoyé aux douches alors que le Canadien menait 4 à 0 lors du septième et ultime match de la demi-finale, la dernière de l'histoire de l'Igloo de Pittsburgh.

« De revenir au Québec l'été dernier et d'entendre tout le monde me parler de notre élimination, ce fut différent. J'aurais aimé être à la place du Canadien en finale d'association . L'été a été plus long et on est prêt pour cette année. »

Un premier gain au nouvel aréna ?

Les Penguins ont raté leur entrée à leur nouvel amphithéâtre jeudi soir en subissant une défaite de 3-2 aux mains des Flyers de Philadlphie au Consol Energy Center. Une victoire contre le Canadien samedi leur permettrait de faire coup double: venger l'élimination et faire plaisir aux amateurs.

« J'ai hâte d'affronter le Canadien, a lancé Fleury. On aurait aimé partir du bon pied dans notre aréna. Ça ferait du bien de se venger un peu avec ce qu'on a vécu en séries, estime Fleury à la veille de l'affrontement.

La leçon

Les Penguins n'ont pas oublié l'affront du printemps dernier. Et ils retiendront la leçon selon le gardien des Penguins.

Le gardien des Penguins avait permis 4 buts en 13 lancers avant de céder sa place au gardien substitut Brent Johnson. Les Penguins avaient eu un regain de vie en marquant deux buts mais le Tricolore l'avait finalement emporté 5-2, en route vers la finale d'association et les Flyers de Philadelphie.

«Les deux dernières années, on avait été choyés d'aller en finale deux fois et le printemps dernier, on est peut-être entré en séries trop détendus. Ce n'est pas acquis qu'on va se rendre en finale tous les ans et peu importe que tu finisses premiers ou huitièmes, ça ne veut rien dire. Il faut être la meilleure équipe et celle qui travaille le plus fort pour avancer en séries», croit Fleury.

Source : Ckac.com